Catégorie : Blogue
Avril 2020
Aujourd’hui, le Centre de transfert d’entreprise du Québec (CTEQ) accueille Pénélope Fournier, repreneure de la firme de communications et marketing lg2. Elle vous présentera des actions concrètes à adopter dès maintenant en lien avec votre image de marque pour sortir le plus gagnant possible une fois la crise de la COVID-19 passée.
Les questions suivantes seront abordées et appuyées d’exemples réels et inspirants !
- Pourquoi faut-il continuer à investir dans sa marque ?
- Quelles sont les attitudes gagnantes à adopter présentement ?
- Comment ma marque peut-elle aider dans ce contexte de crise ?
- Comment peut-on aider nos clients ?
Pour toutes questions, n’hésitez pas à communiquer avec nous!
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Un projet repreneurial comporte des stresseurs, même en temps « normal ». Les repreneurs font face à de multiples épisodes de turbulences pendant la transition. Reprendre une entreprise, c’est stressant ! Qu’arrive-t-il quand une crise comme celle que nous vivons actuellement augmente davantage le niveau de stress et d’anxiété ? Comment aider les repreneurs à protéger leur santé mentale et à tirer le meilleur de la situation ?
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D’abord, démystifions le stress
Le stress est un phénomène normal, nous indique Sonia Lupien, chercheure en neurosciences et fondatrice du Centre d’études sur le stress humain. C’est ce qui se passe dans notre corps et notre esprit lorsque nous faisons face à une pression ou à une agression de notre environnement. Toutefois, le stress devient de l’anxiété lorsqu’on anticipe ou grossit les difficultés. Notre cerveau devient alors hyper vigilant, même lorsque les dangers sont absents.
Des pensées peuvent alors envahir notre esprit : « Notre entreprise ne passera pas à travers la crise. », « Je ne suis pas à la hauteur dans cette crise. », « Je vais perdre tout ce que j’ai investi. » En contexte anxiogène comme celui que nous vivons actuellement, il est primordial de « vider » notre réservoir de stress, rempli par la cascade d’hormones qui déferle plus fréquemment. Toutefois, si l’on ressent des symptômes graves, il est recommandé de consulter.
Le stress en contexte repreneurial
Penchons-nous sur ces cas réels pour nous aider à mieux comprendre comment peut se manifester le stress chez les repreneurs :
Sophie occupe un poste exécutif dans l’entreprise où elle travaille depuis 5 ans. Elle tient un rôle important dans la gestion de la crise actuelle, tout en conciliant son travail avec la présence des enfants à la maison. Elle se prépare à prendre la relève du président, espère-t-elle.
Qu’est-ce que le CINÉ ?
C’est un acronyme créé par Sonia Lupien pour expliquer les quatre facteurs de stress :
- Contrôle faible
- Imprévisibilité
- Nouveauté
- Égo menacé
L’effet du stress est multiplié chez les repreneurs en transition.
Cette situation peut accentuer les facteurs de stress existants, le CINÉ, dans son environnement : flou sur son orientation dans l’entreprise (imprévisibilité), crédibilité et légitimité dans son rôle actuel (égo), manque de contrôle sur ses ambitions entrepreneuriales, car elle ne sait pas quand elle deviendra pleinement autonome (contrôle) ou gestion du changement de son quotidien (nouveauté).
L’effet du stress est multiplié chez les repreneurs en transition.
Deux ans et demi après la reprise de sa PME, David vit encore les rebonds de son projet repreneurial. Il doit repenser les orientations stratégiques, gérer son endettement de la transaction encore récente, rassurer toutes les parties prenantes et demeurer en maîtrise de lui-même.
L’effet du stress est aussi multiplié chez les repreneurs en post-reprise. Ces nouveaux chefs sortent tout juste d’un processus intense et émotif qui est, par nature, turbulent. Qu’est-ce qui résonne dans leur tête actuellement ?
Des solutions pour réduire le stress?
D’abord, nous pouvons accompagner les repreneurs en les aidant à déconstruire, puis à reconstruire les facteurs de stress. Écoutons les histoires qu’ils nous racontent — et qu’ils se racontent. Quelles menaces ont-ils détectées ? Puis, nous pouvons les aider à négocier ces menaces, conseille Sonia Lupien, sinon elles reviendront en boucle.
Que pouvons-nous faire pour :
- Que la situation soit moins imprévisible, moins nouvelle ?
- Que la situation menace moins l’égo ?
- Retrouver un sentiment de contrôle sur la situation ?
- Se sentir plus calme ?
Les gains acquis en négociant le stress et l’anxiété serviront sans aucun doute à poursuivre le projet repreneurial ou à le relancer après la crise.
En second lieu, nous pouvons aider les repreneurs et les nouveaux chefs à « reprendre » le contrôle de la situation. Pour les aider à réduire les bruits extérieurs générateurs de stress, il est utile de faire un bilan régulier :
- Que devons-nous cesser de faire ?
- Que devons-nous faire différemment ?
- Que devons-nous commencer à faire ?
La crise actuelle est une occasion de mettre au défi son projet repreneurial, voire de le rendre plus fort. Nous pouvons l’accélérer à certains égards et le ralentir à d’autres. Tentons de changer notre regard, souvent négatif, sur l’épreuve et le changement. Nous pourrons ainsi générer rapidement de petits gains sur notre façon de gérer le stress.
Des solutions pour réduire le stress?
Rebondir à la suite d’une crise ne veut pas dire retourner à notre état d’avant. On parle plutôt de se propulser vers l’avant, même si la suite est incertaine. Pour nous aider à y arriver, nous pouvons d’abord bien cerner les enjeux accentués par la crise, mais aussi les possibilités qui en découlent. Nous pouvons aussi diriger notre attention sur ce qui ne change pas, car certaines choses continuent ! Dans tous les cas, garder le cap sur notre santé mentale est prioritaire.
Prenez une pause et surtout, un grand soin de vous…
Jessica Grenier
Collaboratrice
Spécialiste en repreneuriat
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Avril 2020
Le Centre de transfert d’entreprise du Québec aborde une question cruciale aujourd’hui : de quelle façon est-ce que le repreneuriat est affecté par la crise sanitaire que nous vivons actuellement? Plus précisément, vous aurez des réponses aux questions suivantes:
- Quel est l’impact de la pandémie sur le repreneuriat?
- Est-ce que les dirigeants d’entreprises devraient reporter leur projet de transfert?
- Que conseillons-nous aux repreneurs et aux cédants qui étaient en cours de transfert d’entreprise?
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L’étiquette de disques indépendante ATMA Classique, fondée en 1994 par Johanne Goyette, vient d’annoncer l’acquisition de l’entreprise – et de son prestigieux catalogue comptant plus de 550 titres de musiques baroque, classique et contemporaine, Ad Literam, une maison de disques qui se définit comme étant « la fabrique de nouveaux talents ». Selon Mme Goyette, citée par La Presse, cette acquisition est motivée par une volonté d’« assurer un transfert qui garantisse la pérennité de l’étiquette et permette le développement de nouvelles avenues1 », nécessaires à la survie de toutes entreprises culturelles.
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Alors que sévissent les effets délétères de la COVID-19 sur l’ensemble de la planète, on peut s’étonner d’une telle annonce dans un contexte où l’économie est plutôt malmenée et que l’ensemble des ressources est mobilisé pour combattre « l’ennemi invisible ». Au contraire, cette acquisition témoigne de la formidable capacité de résilience d’un secteur d’activité, sous toutes ces formes, face aux bouleversements, qu’ils soient politiques, économiques, sociaux ou technologiques.
Une résilience qui est au cœur de l’écosystème culturel, complexe dans sa forme, fragile dans sa constitution. Secteur hétérogène et protéiforme par excellence, le milieu culturel se distingue par la grande diversité de ces acteurs – artistes, artisans, entrepreneurs et travailleurs autonomes, entreprises et organisations à but lucratif ou non – qui le compose et de la nature de ces activités, qu’elles soient de création, de production, de diffusion, de commercialisation ou patrimoniales.
Bien sûr, à l’instar d’autres secteurs économiques, le culturel ne fait pas exception lorsqu’il s’agit de préserver des emplois, dont la plupart sont précaires, et d’être rentable tout en offrant des produits, des services et des prestations de qualité. Par contre, il faut préciser que le secteur culturel a l’habitude d’être affecté, voire malmené par des forces endémiques telles que les effets de la mondialisation, la dématérialisation et la dévalorisation des contenus dans l’espace numérique, la concurrence déloyale des géants du Web (de type GAFAM), l’instabilité des subventions et des aides publiques, etc.
Dans un tel contexte, on peut affirmer que ce qui peut apparaître comme de grandes faiblesses structurelles constituent, à l’inverse, de grandes forces, les entreprises culturelles étant habituées à se réinventer en permanence et à composer avec une relative incertitude. Il en découle des méthodes de travail distinctes – compte tenu des ressources humaines, financières et techniques souvent limitées -, une adaptation « naturelle » aux contextes changeants, une diversité d’approches, de pratiques professionnelles et une fluidité, voire une « agilité » (pour reprendre un concept à la mode) face aux changements et, au final, une capacité de se réinventer.
À l’instar du chimiste français, Antoine Lavoisier, qui affirmait que « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme », il semble que l’écosystème culturel incarne parfaitement cette maxime. Que ce soit face à la situation de crise sanitaire et économique actuelle et, plus largement, aux défis de la relève et du transfert d’entreprise, le secteur culturel fait montre d’une formidable capacité d’adaptation, étant motivé par une mission, incarnée de façon magistrale par des artistes, et des entrepreneurs aussi créatifs, innovants et que talentueux, dont les « actifs » immatériels – en termes de réputation, de rayonnement culturel et, au final, de fierté – demeurent aussi uniques qu’irremplaçables.
On peut alors se réjouir qu’en plein marasme sanitaire et économique demeure la culture, ultime rempart à la morosité ambiante et, comme l’affirme le philosophe, symbole, voire pulsion de vie.
Fort de ce mouvement, le Centre de transfert d’entreprise du Québec (CTEQ) offre, en partenariat avec la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC), un accompagnement personnalisé aux entreprises culturelles en matière de relève entrepreneuriale et de transfert d’entreprise. N’hésitez donc pas à communiquer avec notre conseiller attitré au secteur culturel, Pascal Genet, au numéro 1 844 200-2837 poste 1029.
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1 Source : https://www.lapresse.ca/arts/musique/musique-classique/202003/30/01-5267073-ad-litteram-acquiert-atma-classique.php
On va se le dire, l’instabilité sanitaire et financière que vit présentement la grande majorité des entreprises québécoises nous servira de leçon pour l’avenir. Est-ce que nous aurions pu voir venir la situation ? Oui… et non. Tant que nous ne l’avons pas vécu, c’est difficile de s’y préparer…
Maintenant, que pouvons-nous faire ? Si vous faites partie d’une équipe de direction ou avez un/des associés, et si ce n’est pas encore déjà fait, planifiez une rencontre de gestion. Vous devriez sans tarder lister vos priorités financières afin de garder le cap, assurer la survie de l’entreprise à court et moyen termes… et espérer passer au travers de cette « crise ».
Si votre entreprise est éprouvée par les impacts de la COVID-19, vous devez agir immédiatement afin de limiter les conséquences à long terme.
Voici une liste de propositions de choses à faire, à discuter, à préparer pour les entreprises vivant des difficultés en lien avec la pandémie qui sévit au Québec présentement.
Limiter les dépenses
La saine gestion de vos dépenses doit s’articuler autour des opérations qui génèrent des revenus pour votre entreprise. Les dépenses non essentielles doivent être reportées. À vous de les définir. Surveillez quotidiennement votre fonds de roulement afin d’éviter, par exemple, les chèques sans provision, les retraits préautorisés, etc. Les institutions financières ont pris et déjà communiqué des mesures pour aider leur clientèle d’affaires. Elles sont particulièrement ouvertes en ce temps de crise.
Elles peuvent offrir des assouplissements quant aux remboursements de vos prêts, marge de crédit, etc. Informez-vous ! D’autres ententes de paiement peuvent aussi être prises avec vos fournisseurs, vos distributeurs, votre locateur, vos autres créanciers, etc. Ces démarches demandent du temps de votre part, mais elles en valent le coup.
Communiquer efficacement et de façon continue avec vos employés
En temps de ralentissement économique, les employés peuvent s’inquiéter. Il devient donc judicieux de communiquer avec eux, par exemple, via le bulletin interne de l’entreprise, et de demeurer à l’écoute des préoccupations de ces derniers. Sans être alarmiste, vous pouvez les informer des conséquences de ce ralentissement sur l’entreprise et expliquer les mesures entreprises pour maintenir le cap sur les objectifs, et ce sur une base régulière (1 fois par semaine).
Si toutefois vous devez réduire votre personnel et effectuer des mises à pied temporaires ou définitives, communiquer cette nouvelle le plus simplement et rapidement possible afin de contrôler le message.
La mise à pied d’employés ébranle une équipe de travail donc il vous faudra limiter les dégâts au minimum. Vous pourriez aussi continuer à communiquer avec les employés que vous avez mis à pied temporairement afin de les tenir informés des développements. Comme vous l’avez lu précédemment, l’important c’est de communiquer judicieusement !
Planifier un plan de relance
Oui, il faut y penser dès maintenant ! Nous sommes conscients que présentement vous êtes en période de gestion de crise et occupés à gérer le maintien de vos opérations. Tout dépendamment de l’industrie ou du secteur d’activité dans lequel vous œuvrez, les « affaires » finiront par reprendre progressivement ou en force.
Ce sera peut-être le moment opportun pour essayer de se réinventer en attendant le maintien de la rentabilité de vos opérations. Élaborez un plan de relance qui prend en compte la réintégration des ressources mises à pied (si tel est le cas), rétablir les liens avec certains partenaires, rouvrir des points de services ou de vente, redonner des contrats à vos fournisseurs et/ou distributeurs, établir et mettre en branle progressivement des actions marketing qui inviteront les clients à acheter vos produits/services.
Conséquemment, il vous faudra prévoir dès maintenant un budget qui permettra d’appuyer toutes ces mesures de relance.
Établir un plan de gestion de crise
Que ce soit pour maintenant ou pour la prochaine « crise », nous vivons présentement une situation où nous devons apprendre pour l’avenir. Des événements subis et non planifiés (ex. : incendie, catastrophe naturelle, virus, décès, enjeu de réputation, etc.) vont arriver de nouveau. Grâce à une bonne planification, vous pourrez déterminer à l’avance des mesures à effectuer, les ajuster au besoin et selon la « crise ». Un plan bien réfléchi pourra vous permettre de minimiser les perturbations pour votre entreprise, vos employés et vos clients… ce qui pourrait même vous donner avantage sur vos concurrents.
Votre plan devrait inclure la liste des crises possibles, les risques encourus par l’entreprise, les moyens mis en place pour gérer ces situations, et votre plan de relance des activités. Idéalement, cet exercice devrait se faire en équipe de direction ou avec vos associés. N’hésitez surtout pas à prendre le temps qu’il faut pour réfléchir à ces éventualités. Le temps venu, vous serez plus en contrôle.
Vous êtes en démarche de transfert ou de reprise d’entreprise et désirez discuter de votre situation avec un conseiller en transfert d’entreprise du CTEQ ? N’hésitez surtout pas à communiquer avec nous.
Ne manquez pas la suite de nos articles de blogue et capsules vidéos qui parleront de la reprise des activités des entreprises après la pandémie.
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Partons à la rencontre de Clément Forgues, ancien propriétaire-dirigeant d’Outillage Industriel Québec. Pour Clément, le moment de penser à transférer son entreprise a fait son apparition.
Premièrement abordé par de potentiels repreneurs avec un grand capital, il se rend rapidement compte que la pérennité de son entreprise et le maintien des emplois sont le plus importants. Il ne souhaite pas risquer qu’un acheteur externe vienne « faire le ménage » dans l’entreprise.
Après discussion avec plusieurs de ses employés intéressés à prendre la relève, Sylvain Lortie semble être le repreneur idéal.
À ses débuts, Sylvain ne pensait pas reprendre l’entreprise intégrée. Son envie est arrivée progressivement puis une réflexion plus approfondie. Avec plus de 10 ans d’expérience au sein d’Outillage Industriel Québec, l’ambition du repreneur confortait Clément.
Ensemble, ils ont mis au point un programme de formations pour parfaire les connaissances de Sylvain et le préparer au mieux à son nouveau rôle de dirigeant. Une véritable relation respectueuse et de confiance s’est installée entre les deux hommes.
Clément a soutenu Sylvain auprès des institutions financières pour montrer qu’il était une valeur sûre et un vent de fraîcheur pour l’entreprise. Ainsi, le prêt a été jugé moins risqué.
Après les négociations du prix d’achat, Clément est resté dans l’entreprise pendant tout le processus de transfert pour rassurer Sylvain et les institutions financières. Ensuite, le temps de quitter l’entreprise est arrivé pour permettre à la nouvelle culture de Sylvain de s’installer sans générer de conflits.
Clément rappelle que l’accompagnement dans le processus a grandement aidé. Le cédant doit être préparé pour mener au succès du transfert. Dans son cas, son expérience en tant que repreneur d’Outillage Industriel Québec lui a permis de soutenir au mieux Sylvain et de comprendre ses problématiques. En s’entourant de personnes compétentes et expertes, le plan de match s’est bien déroulé tout en intégrant une démarche de gestion des relations humaines. L’entreprise a, ainsi, continué ses activités sans brusquer les opérations.
Aujourd’hui, Sylvain possède l’entreprise avec 5 autres repreneurs. Découvrez le témoignage de Clément Forgues, cédant de l’entrepirse Outillage Industriel Québec:
Le Centre de transfert d’entreprise du Québec (CTEQ) et l’Association régionale de développement économique du Centre-du-Québec (ARDECQ) sont fiers de vous proposer la deuxième des cinq capsules vidéo destinées aux dirigeants d’entreprises.
- Plan de transfert
- Prix de vente
- Maximisation de la valeur
- Aspects financiers
- Transfert de direction
Le prix de vente
« Le prix de votre entreprise n’a malheureusement rien à voir avec le temps et les sacrifices investis. D’ailleurs, un prix trop élevé ne vous apportera pas plus d’argent, cela pourrait plutôt retarder le processus de transfert d’entreprise.» nous dit Nathalie Bilodeau, conseillère en transfert d’entreprise du Centre de transfert d’entreprise du Québec (CTEQ)
Avant de présenter votre entreprise à un acheteur potentiel, il vous faudra faire l’exercice complexe de déterminer la valeur d’une entreprise que vous voulez vendre. Il est alors fortement recommandé de faire appel à un spécialiste de l’évaluation d’entreprises afin de déterminer la valeur la plus juste de votre entreprise.
Découvrez dans cette vidéo, les conseils avisés de Nathalie Bilodeau, conseillère en transfert d’entreprise du CTEQ et le témoignage de Mme Claire Côté et M. Normand Lamothe de Bois Laurentides inc. de Saint-Célestin.
Le projet a été rendu possible grâce à la Table d’action en entrepreneuriat du Centre-du-Québec, par Desjardins Entreprise du Centre-du-Québec et le Groupe RDL.