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Catégorie : Blogue
Juin 2020
Nathalie Boudreau, notre conseillère pour le secteur touristique reçoit Marc-Antoine Reid, planificateur financier chez IG Gestion privée du patrimoine pour parler du rôle du planificateur financier dans le processus de transfert d’entreprise.
Dans cette capsule, vous en apprendrez un peu plus sur :
- Le rôle premier du planificateur financier et son champ de compétence
- La différence entre un planificateur financier et un conseiller en placement
- La différence entre un planificateur financier et un comptable
- Quelques conseils aux entrepreneurs qui souhaitent vendre ou acheter une entreprise
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Dans le cadre de ce webinaire, nous présenterons le portrait repreneurial au Québec ainsi que les défis associés au repreneuriat et pourquoi il exige un accompagnement qui est adapté. De plus, nous identifierons les enjeux techniques, sociaux et organisationnels pour mieux répondre au besoin de la relève. Enfin, nous présenterons quelques exemples d’adaptation de l’accompagnement en temps de crise.
Au terme du webinaire, vous repartirez avec :
- Une compréhension des défis et des rôles clés de l’accompagnement en repreneuriat.
- Des pistes de réflexion pour mieux choisir ses intervenants.
Des exemples de l’offre qui s’adapte rapidement au Québec selon les besoins actuels. - Une conviction de la nécessaire collaboration dans le milieu.
Pour tous les détails relatifs à la programmation,
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Juin 2020
Le Centre de transfert d’entreprise du Québec accueille Jonathan Séguin-Forest, MBA, CPA, CA, EEE de la firme BJC pour parler des impacts de la pandémie sur le processus transactionnel et la vérification diligente dans un contexte d’achat/vente d’entreprise.
Plus précisément, les points suivants seront abordés :
- Comment est-ce que l’incertitude joue sur la gestion du risque?
- Qu’en est-il du côté humain des transactions?
- De quelle façon est-ce que les procédures seront adaptées, en ce qui concerne la vérification diligente?
- Quelles sont les avenues de solutions potentielles?
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Juin 2020
L’industrie culturelle au Québec fait partie de celles qui ont été les plus affectées par la crise sanitaire actuelle. Le Centre de transfert d’entreprise du Québec (CTEQ) a souhaité savoir comment les acteurs de ce secteur d’activité ont réagi et font pour survivre et surtout maintenir la valeur de leur entreprise en dépit des temps d’incertitude que nous vivons présentement.
Pour en savoir davantage sur le milieu culturel, le CTEQ est allé à la rencontre des Productions Via le monde (VLM). Fondé en 1967 par Daniel Bertolino, le Groupe VLM produit et distribue des documentaires et des émissions pour la jeunesse, destinés aux marchés canadien et international de la télévision. Catherine Viau, associée de Daniel Bertolino et vice‑présidente de VLM, nous a ouvert leur porte et nous a livré les différentes stratégies mises en place face à la crise actuelle.
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Les Productions Via le monde, sont d’abord et avant tout un catalogue et des archives très riches en contenus divers et variés, comprenant plus de 700 heures de films montés et des milliers d’heures d’archives sur une foule de sujets. Les trois piliers sur lesquels est fondée cette entreprise sont :
- Un regard particulier porté sur le monde
- L’importance du relationnel
- Une vision éditoriale à long terme avec le souci de donner une dimension et une valeur patrimoniales à leurs œuvres.
Il est à noter que le milieu audiovisuel n’en est pas à sa première crise et, comme le souligne Catherine Viau, « le changement est sujet de prédilection traité de façon récurrente dans la majorité de leur production. Depuis plus d’une trentaine d’années, nos réflexions portaient autour de la gestion de crise, à savoir comment mobiliser de façons efficiente et efficace nos ressources pour créer de nouvelles choses et aussi reconnaître que les ressources humaines sont notre principal actif, notre richesse ».
Au début de la crise de la COVID-19, les producteurs ont, dans un premier temps, fait l’inventaire de leur fonds éditorial. Ils ont identifié leurs forces. En l’occurrence, un catalogue riche en contenus, qui sont autant de produits à diffuser et qui seront de plus en plus en demande. Ils ont également une expertise, un savoir-faire à partager et une solide capacité à réseauter, comme en témoigne l’implication active de Catherine Viau dans différents évènements tels que le Festival cinéma du monde de Sherbrooke. Dans un deuxième temps, ils ont identifié leurs faiblesses en reconnaissant le risque que les supports de captation traditionnels sur lesquels ils ont toujours travaillé depuis des années risquent d’être obsolètes. Des réalités qui ont soulevé autant d’enjeux que de problématiques qu’ils étaient susceptibles de rencontrer à savoir comment :
- Mettre en valeur leurs produits ?
- Leur donner une nouvelle vie ?
- Les faire circuler
- Les conserver et en assurer la pérennité ?
- Les faire découvrir à de nouveaux types de consommateurs dont les pratiques et usages technologiques ont grandement changé dans les dernières années au profit des plateformes numériques.
Leurs plus grands défis sont alors identifiés : transformer leurs produits. Favoriser leur accessibilité et leur découverte tout en leur donnant de la valeur pour en assurer la conservation et la survie. Et dans un second temps, rejoindre et travailler avec le monde de la connaissance, un public à la recherche de narrations riches et documentées.
Les Productions Via le monde se lancent alors dans un processus de reconnaissance et de diffusion de l’information. Ils se sont demandé ce qu’il fallait faire sur le plan technologique à court et à moyen terme pour que leur projet se concrétise et que leurs produits prennent de la valeur ajoutée. La première étape a été d’entrer dans un processus d’institutionnalisation : « Institutionnaliser pour sauver ! », comme le précise Catherine Viau. Ils ont donc, d’abord mis l’emphase sur les projets collaboratifs. Notamment la mise en ligne de leur contenu sur différentes plateformes de diffusion, telles que Vimeo et leur site Web. Ensuite, ils ont créé un groupe de travail, en collaboration avec l’Université de Montréal qui est en relation avec les institutions muséales. L’idée est de faire analyser leurs œuvres par des chercheurs et des doctorants afin de leur donner une certaine valeur, et, par conséquent, contribuer à leur reconnaissance et leur légitimation culturelles.
Ils se sont également lancés dans la production de courtes capsules vidéo afin de faciliter la découverte de leur contenu en ligne et attirer du financement pour compléter la part que les programmes mis en place par les institutions et les gouvernements pour aider les entreprises qui prennent un virage numérique ne couvrent pas entièrement. Ils ont alors envisagé de solliciter des partenaires qui ont une forte attraction pour la conservation patrimoniale. Cependant ils prennent rapidement conscience que dû au fait d’être actuellement dans un marché en mutation, il n’est pas aisé de donner une valeur économique propre à une exploitation commerciale de leur produit. Une difficulté souvent associée au secteur culturel où les actifs sont intangibles. À ces difficultés, s’ajoute le fait que la situation de la COVID-19 peut créer des liens de dépendance entre les entreprises culturelles et les différents paliers de gouvernements.
Face à autant de défis, d’enjeux, de problématiques et d’incertitude, Catherine Viau affirme que toute son équipe et elle-même en sont arrivées à la conclusion « que la meilleure façon de sortir d’une crise en tant qu’entrepreneur culturel est de s’investir soi-même sans attendre de retour économique sur le travail produit ». Au moins à court et moyen terme. Elle insiste également sur « la nécessité d’entrer dans une courbe d’apprentissage continuelle et d’acquérir de nouvelles connaissances. De connaître et maîtriser toutes les tâches de la chaîne de production et les différents outils utilisés pour être capables de les utiliser soi‑même ». Face à l’adversité, elle recommande vivement l’agilité qui nécessite d’être en innovation permanente pour développer une autonomie.
Conscient de cette réalité, le CTEQ en collaboration avec la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) demeure un partenaire de premier plan pour accompagner de façon personnalisée les entreprises culturelles en matière de relève entrepreneuriale et de transfert d’entreprise.
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Juin 2020
Le Centre de transfert d’entreprise du Québec accueille dans cette nouvelle capsule, Jonathan Seguin-Forest, directeur principal chez BJC, cabinet de comptables professionnels agréés pour nous parler de l’importance de faire des projections financières lorsqu’on est propriétaire d’une entreprise et encore plus en temps d’incertitude.
Dans cette capsule, les points suivants sont soulevés :
- Le fait de bien comprendre l’objectif pour lequel on fait des projections financières
- L’exigence des créanciers sur les projections financières en temps de crise
- Les différents éléments à considérer pour faire des projections financières
- Les effets positifs de réaliser de bonnes projections financières sur le propriétaire d’entreprise, l’entreprise elle-même et tous les intervenants qui travaillent avec l’entreprise (banquier, fournisseurs, clients, employés)
- Les conseils utiles relativement aux outils à utiliser et aux personnes à contacter pour faire les meilleures projections possibles
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Juin 2020
Le secteur touristique a été l’un des premiers impactés par la pandémie. Aujourd’hui, avec le déconfinement progressif du Québec, certaines entreprises mettent les bouchés doubles pour se positionner en vue de la saison 2020. La question que plusieurs propriétaires d’entreprises touristiques se pose est : est-ce que les retombées seront suffisamment élevées pour compenser les efforts financiers et humains nécessaires à la réouverture ?
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Pour les propriétaires d’entreprises, qui avaient pris la décision de vendre bien avant cette pandémie, l’impact pourrait paraitre à première vue très dramatique. Cependant, sur le terrain, nous constatons que les cédants sont d’une résilience incroyable. Plusieurs ont saisi cette occasion pour faire le grand ménage, former leurs employés, informatiser certains processus, etc. Ils sont conscients que, malgré leur volonté de céder leur entreprise, les repreneurs ne seront pas nécessairement au rendez-vous cette année. Plusieurs misent sur un transfert en 2021. Enfin, la pénurie de main-d’œuvre, habituelle dans ce milieu, sera un autre grand défi à relever dès la réouverture pour les propriétaires.
Du côté des repreneurs, on pourrait penser que saisir la bonne affaire est leur première motivation, mais on voit plutôt des repreneurs réfléchis qui observent ce qui se passe. Ceux-ci réalisent que ce secteur d’activité comporte certains défis supplémentaires. Les passionnés continueront leur recherche et les autres opteront pour un autre type d’entreprise ou un autre secteur d’activité.
Finalement, une des difficultés qui affecte le secteur touristique, et qui impacte considérablement la reprise d’entreprise touristique est la recherche de financement. Déjà un défi en temps normal, les derniers mois n’ont pas sécurisé les bailleurs de fonds. Il faut user d’imagination et de détermination pour trouver le financement nécessaire au transfert d’entreprise actuellement. Parmi les solutions à envisager, les cédants pourront être interpellés pour une balance de vente plus élevée, se constituer en coopérative ou trouver des partenaires qui injecteront des fonds. Aussi, certains programmes d’aide sont en attente d’être reconduit.
Quoi qu’il en soit, les conseillers en transfert d’entreprise du CTEQ continueront de guider les entrepreneurs du secteur touristique afin de s’assurer que toutes les possibilités soient explorées.
Les organisations qui gravitent autour des entreprises touristiques ont été d’un appui important au quotidien. Des webinaires, blogues, capsules et rencontres ZOOM, tout a été mis en œuvre pour les soutenir et les outiller. Également, les différents programmes d’aide financière des deux paliers de gouvernements ont été très bien reçus par les propriétaires d’entreprises. Ces derniers souhaitent aussi avoir l’appui des gouvernements pour les aider à couvrir leurs frais fixes et certains frais dédiés à la réorganisation des lieux ou à la réouverture de leurs entreprises.
L’industrie touristique au Québec, c’est important et plusieurs études le démontrent. C’est le cas de l’étude de Destination Canada publié en mars 2020, où l’on estime de 6 à 11 milliards les pertes que pourrait subir l’industrie touristique québécoise due à la COVID-19. De plus, comme le secteur touristique représente plus de 9% des emplois au Québec, et qu’un nombre important de ceux‑ci sont saisonniers, la crise actuelle pourrait entraîner la perte de 82 000 à 120 000 emplois.
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Juin 2020
Deux de nos conseillers au Centre de transfert d’entreprise du Québec, Chantale Roberge pour la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean et David Bureau pour la région de Laval sont réunis dans cette nouvelle vidéo pour partager avec tous les propriétaires d’entreprise les meilleures pratiques à utiliser, les réflexes à avoir, les questions à se poser et toute la préparation requise pour entamer efficacement le processus de transfert d’entreprise et surtout pour bien réussir son transfert en toute quiétude.
Dans cette capsule intitulée : « Vendre son entreprise : de l’intention à l’action », les points suivants sont évoqués :
- Établissement d’un bilan personnel et professionnel
- Mise à jour de son plan d’affaires
- Les personnes à solliciter pendant la réflexion et tout au long du processus de transfert
- Les qualités à avoir en tant que propriétaire-dirigeant pour passer à l’action et vendre son entreprise
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