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entreprise d'alimentation à vendre

Un peu d’histoire…

L’entreprise Alimentation 195 Sud est la plus récente dénomination d’une petite épicerie de village qui a vu le jour dans les années 1950. Normand Doucet et son associé, Marian Boulianne, en font l’acquisition le 1er avril 1992.

Trois ans plus tard, Normand rachète la part de son associé et devient propriétaire unique de cette entreprise qu’il exploite avec brio avec sa conjointe Suzanne Dumont. C’est en 2018 qu’ils changent le nom pour Alimentation 195 sud qui dégage mieux le sentiment d’appartenance au milieu.

Les deux repreneurs sont fiers de ce qu’ils ont accompli au cours de ces trente dernières années. Offrir des produits de grande qualité dans un environnement propre et accueillant, tout en priorisant les relations humaines, a toujours été l’objectif qu’ils ont poursuivi avec assiduité et rigueur.

L’entreprise s’est forgé une belle réputation depuis les trente dernières années. Le couple a pris soin de l’équipe en place. Les employés aiment leur travail et s’impliquent pour le succès de l’entreprise. Les propriétaires sont également prêts à accompagner le repreneur durant la période de transition.

Des projets innovants !

Depuis l’acquisition en 1992, le magasin a subi de multiples transformations. En 2002, des rénovations majeures transforment l’apparence extérieure et intérieure du commerce. La boucherie est complètement renouvelée avec des comptoirs en acier inoxydable de qualité. En 2014, ils ajoutent une toute nouvelle chambre froide exclusivement pour la bière, ainsi que de nouveaux comptoirs surgelés et réfrigérés. Chaque coin du magasin fut amélioré !

Un positionnement géographique stratégique

Alimentation 195 Sud se situe à Saint-Léon-le-Grand, une municipalité à vocations agricole et forestière de plus de 1 000 habitants au Bas-St-Laurent. Il s’agit d’un lieu touristique où la population est en hausse durant la saison estivale, et ce, jusqu’à la fin de l’automne à cause de la période de la chasse. Saint-Léon-le-Grand est situé aux pieds des montagnes qui forment la chaîne des Appalaches dans le secteur des monts Chic-Chocs. C’est un endroit aux paysages splendides où il fait bon vivre.

Des produits et des services adaptés pour la clientèle

Aucun service de restauration n’est offert dans la municipalité, c’est donc chez Alimentation 195 Sud que les gens s’approvisionnent en prêt-à-manger. Le commerce est reconnu pour la qualité de sa viande et de ses mets cuisinés. Il s’agit d’ailleurs d’une niche à développer pour le futur propriétaire.

Le service à la clientèle est aussi l’un des points forts de l’entreprise. « Chez nous, on appelle les clients par leur prénom » soulève Suzanne.

De plus, l’équipe a remporté le 1er prix provincial en matière de salubrité et de sécurité alimentaire opérant sous la bannière, et ce, à plusieurs reprises.

Quel est le repreneur idéal pour Alimentation 195 Sud ?

L’entreprise est idéale pour un jeune couple ou une famille qui désirent s’investir dans un travail en étant leur propre patron tout en profitant d’une vie paisible loin du trafic et de tous ses inconvénients. D’ailleurs, une école primaire est située juste en face du commerce.

À l’étage supérieur, il y a un logement de 6 pièces et ½ complètement rénové, prêt à recevoir le ou les nouveaux propriétaires ou à mettre en location pour une source de revenus supplémentaire.

Les responsabilités actuelles des propriétaires sont variées, mais les repreneurs doivent notamment s’attendre à faire la gestion des employés, l’administration, la gestion du commerce et le développement d’offres innovantes.

Un projet de vie stimulant et épanouissant !

Voyez l’annonce ici.

Prix de vente : 399 000 $

Chiffre d’affaires : 1,1 million $ (5 dernières années)

Contactez-nous pour plus d’information.

entreprise en construction à vendre

Les Industries Leblanc est un manufacturier de maisons pré-usinées faites sur mesure, livrées et installées pour le client. En activités depuis plus de 30 ans, la compagnie établie à Carleton-sur-Mer doit son nom à son fondateur. Elle passera ensuite sous les mains de M. Jacques D’Anjou, l’actuel propriétaire, maintenant à l’aube de la retraite.

Des produits uniques et appréciés

M. D’Anjou et son équipe d’une douzaine d’employés répondent au besoin des clients qui cherchent à se bâtir une maison neuve, avec des critères spécifiques et surtout une habitation livrée et installée rapidement.

« Ce que les gens apprécient, c’est que nous pouvons vraiment leur offrir une solution clé en main. Certains préfèreront assurer la finition intérieure, d’autres n’auront qu’à accrocher leurs rideaux ! »

Au fil du temps, l’entreprise s’est dotée

usine de construction à vendre

 d’une usine d’assemblage polyvalente enplus d’avoir modernisé ses installations, renouvelé l’outillage et sa flotte de camions.

Elle compte sur un fort réseau de sous-traitant pour monter les fondations, l’électricité et la plomberie des habitations qu’elle construit.

Les deux contremaîtres, celui de l’usine et celui du chantier sont des employés clés et fidèles. Ils détiennent plus de 10 ans d’expérience au sein de l’entreprise.

Une région à fort potentiel

« Il y a encore beaucoup de terrains vacants dans la Baie-des-Chaleurs, et surtout beaucoup de gens de la ville qui viennent, ou reviennent s’installer ici. J’ai beaucoup de clients retraités, j’ai aussi parfois des commandes bien précises, par exemple des chalets pour le tourisme, des maisons adaptées pour les gens à mobilité réduite. Notre avantage est que nous faisons vraiment du sur mesure et sommes les seuls à le faire dans le coin ! »

Reprendre Les Industries Leblanc, c’est pour qui ?

L’actuel propriétaire recommande quelqu’un qui :

  • Détient idéalement de l’expérience dans le milieu de la construction
  • A des aptitudes pour la vente et la relation-client (entregent, écoute, diplomatie)
  • Aime le travail saisonnier (période intense d’avril à début novembre alors que l’hiver est dédié aux ventes)

Potentiel de l’industrie

« En raison de mon âge, j’ai peu démarché de nouvelles avenues pour faire croître l’entreprise. Mais il y aurait beaucoup de voies à explorer en ce sens. »

  • Explorer le marché des entrepreneurs indépendants qui souhaitent acquérir nos maisons pour en faire la finition
  • Vendre aux entrepreneurs de la Gaspésie qui achètent des maisons pré-usinées dans les maritimes
  • Anticiper la popularité des minimaisons, sous réserve de l’assouplissement des règlements des municipalités envers cette forme d’habitation
  • Exporter à l’extérieur de la Gaspésie

Bref, il y a de quoi s’occuper, mais aussi rêver ! À qui la chance ?

Qui est prêt à se lancer dans cette belle aventure ? Communiquez avec nous pour savoir par où commencer !

Le numéro de la fiche INDEX des Industries Leblanc est : 13039

achat d'un vignoble

Vous connaissez le seul vignoble qui produit du vin biologique certifié dans la région de Lanaudière ?

Situé sur une colline, tout près du lac Maskinongé, le Vignoble Saint-Gabriel, et ses 35 000 plants de vigne provenant de 12 cépages différents, produit de 40 000 à 50 000 bouteilles par an.

Bien plus qu’un vignoble

Sur les 60 hectares de terre de la propriété, 40 % sont occupés par les vignes, le reste étant encore boisé.

« Il y a le potentiel de planter encore davantage de vignes », indique Paul Jodoin, propriétaire et fondateur du vignoble.

En plus de sa salle de dégustation et de sa cave à vin, le vignoble dispose aussi d’un espace de musée qui abrite une collection d’anciens tracteurs agricoles. Les beaux jours, sa terrasse avec vue charme les touristes qui viennent y déguster des vins et plateaux froids à partager. Le vignoble accueille près de 35 000 visiteurs annuellement.

« Avec les autres vignobles de la région, le plus près étant situé à 50 km, il y a une volonté de collaborer pour créer un circuit des vins. Il s’agit d’un projet d’agrotourisme prometteur ».

Une croissance continue

« J’ai tout planté moi-même en 2001 et j’ai vu grandir la vigne. Depuis les 10 dernières années, nous avons connu une croissance soutenue avec une augmentation annuelle de 25 % du chiffre d’affaires. Puis, en temps de pandémie, une année record avec 35 % ».

Le Vignoble Saint-Gabriel vend une proportion approximative de 85 % de son vin sur place. La balance est distribuée auprès des épiciers et restaurateurs de la région.

Le propriétaire continue d’investir et dotera le vignoble d’un système d’embouteillage automatique dans les mois à venir.

vignoble à vendre dans lanaudière

Un travail saisonnier, mais varié

Le vignoble est ouvert au public du 1er mai au 1er décembre. Ses 12 employés sont saisonniers, mais la moitié d’entre eux fidèles depuis quelques années.

« Au début de l’hiver, ma conjointe et moi, on s’occupe de la paperasse. C’est aussi le temps de la vinification. Puis, parfois on fait un petit voyage. On visite d’autres vignobles à l’étranger », raconte Paul Jodoin.

« Mon travail est assez varié. Il y a un côté de gestion, mais aussi il faut être présent dans les champs, dans le magasin pour s’assurer que tout roule bien. Nous consacrons beaucoup de temps au service et à la communication en ligne avec la clientèle. Il faut aimer les gens pour être heureux dans ce travail », ajoute Paul, qui travaillait dans le domaine agricole avant de devenir vigneron.

L’entreprise inclut également une maison neuve sur le domaine et pouvant être occupée par les repreneurs. Un vrai mode de vie quoi !

Avantages en bref

  • Croissance soutenue dans une région de plus en plus visitée
  • Lieu enchanteur
  • Équipement de qualité
  • Certification biologique
  • Site multifonctions avec encore de l’espace à exploiter

Vous en rêvez ? Communiquez avec nous pour savoir par où commencer !

Le numéro de la fiche INDEX du Vignoble Saint-Gabriel est : C5690

garage à vendre

Cet article a été rédigé dans le cadre d’une série dont l’objectif est de mettre en lumière de belles entreprises du Québec qui sont actuellement à la recherche d’une relève.

L’entreprise Boucher et Santerre Inc., située à Lac-des-Aigles dans le Témiscouata, est à la fois un garage et une station-service. Alain Santerre et Johanne d’Auteuil, propriétaires des lieux depuis 1976, ont su fidéliser leur clientèle et entretenir leur commerce. Au seuil de leur retraite, ils sont à la recherche de leur relève et souhaitent vendre d’ici la fin de l’année 2021.

Portrait du village et de la région

Le village de Lac-des-Aigles compte 500 habitants. Il est situé dans la MRC du Témiscouata au Bas-Saint-Laurent, dont 87 % du territoire est forestier. On y dénombre près de 867 lacs ! Les panoramas y sont saisissants et la nature est omniprésente. Cette MRC bénéficie d’une situation géographique stratégique, à proximité des frontières du Nouveau-Brunswick et de l’État du Maine aux États-Unis.

Portrait du commerce et sa fidèle clientèle

L’entreprise Boucher et Santerre Inc. offre les services suivants : peinture, débosselage, mécanique générale et station-service. Sa clientèle est composée de 60 % de particuliers (des « locaux », mais aussi des touristes) et de 40 % d’entreprises (érabliers, travailleurs forestiers, etc.). Monsieur Santerre s’occupe de tout ce qui touche à la mécanique et madame d’Auteuil est responsable de la vente et des tâches administratives. Ils ont également deux employés à temps partiel (selon les besoins).

Seule station-service du coin

Service essentiel, il s’agit de la seule station-service du coin (la prochaine se trouvant à 10 km). Pour la municipalité, il n’est pas question que cette entreprise ferme. La communauté s’est donc mobilisée.

La municipalité de Lac-des -Aigles offre une subvention pouvant atteindre jusqu’à 25 000 $ pour tout repreneur qui se présente. Par le Fonds de vitalisation (MRC du Témiscouata et ministère des municipales du Québec), il est possible d’obtenir une subvention qui peut couvrir 50 % du coût du projet jusqu’à concurrence de 100 000 $. Ceci n’est pas négligeable pour un repreneur.

Pour qui ? Un profil spécifique pour une région spécifique

· Aimer vivre en région et en petite communauté

· Vouloir opérer à la fois un garage et une station-service

· Connaître la mécanique, l’électronique, la soudure et la peinture

· Aimer le plein air, la pêche, la chasse, etc.

Avantages

  • Transfert d’une clientèle fidèle
  • Inclusions :
    • Un grand bâtiment équipé (63 pi2 x 40 pi2)
    • Un grand terrain (20 104 mètres carrés)
    • L’inventaire du garage (incluant trois lifts)

Qui est prêt à se lancer dans cette belle aventure ? Communiquez avec nous pour savoir par où commencer !

Le numéro de la fiche INDEX de Ent. Boucher & Santerre inc. est : 11772

Entreprise à vendre

Un bijou régional à la recherche d'une relève

Cet article a été rédigé à l’intérieur d’une série dont l’objectif est de mettre en lumière de belles entreprises d’ici étant actuellement à la recherche d’une relève.

C’est en rachetant le dépanneur qu’elle a connu enfant dans son village que France Vaugeois lui donnera son nom en 2005 pour l’opérer comme entreprise familiale. Dépanneur Vaugeois, aujourd’hui bien ancré dans le village de Hérouxville, situé à 40 minutes de Trois-Rivières, offre à ses clients de belles exclusivités.

Portrait du commerce et du village

Le Dépanneur Vaugeois est situé sur une route achalandée puisque à proximité de l’autoroute qui mène à Shawinigan, à Montréal ou à Québec. Le village de Hérouxville est un charmant village de plus de 1300 habitants.

On y retrouve plusieurs sites de villégiature, dont le très populaire Tavibois ou le Camp Familial Val-Notre-Dame, plusieurs lacs et de nombreux chalets. Ça bouge à Hérouxville : tout plein de nouvelles familles s’y installent. Plusieurs maisons neuves se construisent chaque année, et les maisons se vendent dès que la pancarte se pointe.

Le commerce est devenu au fil des ans une petite épicerie puisqu’on y retrouve tout pour se dépanner, dit la propriétaire. En effet, depuis quelques années un nouveau fournisseur de la région, Le Carnivore Plus, y offre de nombreux produits : viande de toutes sortes, pâtés, plats préparés pour ne nommer que ceux-là. De plus, le Dépanneur Vaugeois a l’atout d’être le seul commerce en alimentation dans un rayon de 6 km à la ronde.

Un commerce qui a grandi

En 2011, Madame Vaugeois faisait l’acquisition d’une vaste bâtisse commerciale (une ancienne boucherie) dans laquelle elle déménagera le commerce de son lieu original, et ainsi s’assurer de l’exclusivité dans son village. Durée des rénovations : 6 mois, et a ainsi ouvert en juin 2012 dans un tout nouvel aménagement beaucoup plus grand sous la nouvelle bannière Servi Express.

Outre le très grand loyer à l’étage, pouvant être habité par un propriétaire, la bâtisse commerciale offre un rez-de-chaussée d’une superficie de près de 2000 pieds carrés. Tout a été rénové.

Possibilités futures

Que ce soit pour ouvrir un petit restaurant ou même un restau-bar, tout en gardant un côté dépanneur, c’est possible et souhaitable dans la bâtisse actuelle. Il n’y a aucun commerce de ce genre actuellement à Hérouxville et la demande est là.

« Je me lancerais dans ce genre d’aventure si j’avais quelques années en moins! Mais l’âge de la retraite est là pour moi.»

Alors, à qui la chance?

En résumé, les avantages que présente ce commerce à vendre en Mauricie : 

  • Une clientèle régulière 
  • Pas de compétiteurs à proximité 
  • Des produits exclusifs qui fidélisent la clientèle 
  • Un espace avec beaucoup de potentiel pour de nouvelles idées 


Lire aussi Je souhaite acheter une entreprise : Comment faire mes recherches activement ?

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La fiche INDEX de cette entreprise : 10587

L’histoire de l’entreprise en bref

Transport Gélinas, fondée en 1979, est une entreprise spécialisée dans le transport routier général et hors-norme. C’est en 2003 que l’entreprise a vécu son premier transfert d’entreprise, aux mains d’Yvan Bellemare, Josée Bergeron et deux autres actionnaires. Depuis 2018, M. Bellemare, président, et Mme Bergeron, secrétaire, sont désormais les deux seuls actionnaires de l’entreprise.

Au moment de l’acquisition en 2003, Transport Gélinas ne comptait que quatre camions, trois remorques et trois employés. Aujourd’hui, leur flotte est passée à douze camions, vingt remorques, ainsi que douze employés !

Une offre de service diversifiée

L’entreprise dispose tant de camions spécialisés que réguliers pour desservir sa clientèle diverse. Elle a des contrats avec les différents paliers de gouvernement, avec d’importantes compagnies minières, ainsi que des clients dans les secteurs de la foresterie et de l’agriculture. Elle offre également de la location de conteneurs et du transport de bois l’hiver. Le territoire couvert par l’équipe de Transport Gélinas est vaste : l’Ouest canadien, l’Ontario et le Québec, incluant des régions éloignées dans le nord.

Ils transportent des matières premières, des déchets et également de l’approvisionnement de produits dans le cas des mines situées dans les zones éloignées. Surtout, Transport Gélinas offre un service clé en main. Chaque demande constitue un projet à livrer de A à Z. Leur longue expérience leur permet de bien conseiller leurs clients et de leur offrir un accompagnement pour chacune des étapes.

Des compétiteurs… complémentaires !

C’est avec beaucoup de fierté que les propriétaires actuels de Transport Gélinas peuvent compter sur un travail d’équipe avec les autres entreprises de transport sur le territoire. « On s’allie avec les autres. On a chacun nos créneaux et nos forces. On travaille avec nos compétiteurs de façon complémentaire », explique M. Bellemare. Cela leur a permis de traverser des périodes difficiles. M. Bellemare croit qu’il s’agit d’une valeur bien ancrée parmi les entrepreneurs de deuxième génération, comme lui. « Ceux qui ont créé leur entreprise pensaient autrement. À mon avis, cette stratégie de partenariat est un gage de succès. », poursuit-il.

Des clients satisfaits et fidèles

Cette philosophie leur permet de bien servir leur clientèle et explique pourquoi elle est si fidèle. La majorité de leurs clients font appel à leurs services depuis plus de 10 ans, voire 20 ans. « Lorsqu’un client appelle, on s’assure de bien comprendre le besoin. Si c’est mon compétiteur qui est mieux équipé pour y répondre, je le lui référerai. Je sais qu’on me rendra la pareille éventuellement », témoigne le président avec confiance.

Une équipe dévouée

La douzaine d’employés que compte le transporteur est pour la majeure partie au sein de l’entreprise depuis environ 15 ans. Quelques nouveaux employés ont également été embauchés au cours des dernières années. Il s’agit d’un climat familial où on peut ressentir une belle chimie et une ambiance chaleureuse.

Le futur de Transport Gélinas : pourquoi s’y intéresser comme repreneur ?

Les possibilités de développement sont très intéressantes pour cette entreprise ayant fêté ses 41 ans cette année. En effet, M. Bellemare continue de soumissionner une grande diversité de projets sur le territoire québécois et dans d’autres régions du Canada, comme les Maritimes. Il croit aussi fermement qu’il y a un avenir à exploiter dans les domaines liés aux biens et matériaux à valeur ajoutée en matière environnementale, entre autres à l’égard du transport de composantes de biomasse dans lequel Transport Gélinas a développé une spécialité.

Le numéro de la fiche INDEX de Transport Gélinas est le : 12840

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Cet article a été rédigé dans le cadre d’une série dont l’objectif est de mettre en lumière de belles entreprises du Québec qui sont actuellement à la recherche d’une relève.

L’Épicerie Dépanneur Co-Thé, située dans le Bas-Saint-Laurent, a été fondée en 1967 (anciennement l’épicerie André Rioux) et reprise en 1984 par Pierre-Alain Côté et sa conjointe Marjolaine Théberge. Propriétaires depuis 36 ans, ils ont su transformer ce lieu qui n’était à l’origine qu’un petit dépanneur de quartier en une véritable institution incontournable au sein de la municipalité de Saint-Fabien.

Une croissance rapide et des projets sans fin

Après l’acquisition de ce dépanneur en 1984, M. Côté et Mme Théberge se sont donné pour mission d’offrir les services complets d’une épicerie dans leur dépanneur. En 1985, ils ajoutent les services d’une boucherie à l’entreprise. En 1986, ils se lancent dans la préparation de prêt-à-manger qui représente aujourd’hui la force majeure de leur épicerie. Au fil du temps, ils intègrent les services de Loto-Québec, une boulangerie, puis une fromagerie offrant, entre autres, les produits de la Fromagerie des Basques qui sont très appréciés dans la région. Entre 1989 et 2000, ils ont été également dépositaires de la SAQ. Un service de traiteur pour les fêtes et les évènements spéciaux a également été en opération pendant plusieurs années. Ce service était très populaire auprès de la clientèle, mais faute de temps, les propriétaires ont dû y mettre un terme.

Un positionnement géographique stratégique

Plus précisément au cœur de la municipalité de St-Fabien, l’Épicerie Dépanneur Co-Thé est située près de lacs, de villégiatures, d’un flanc de montagne, du fameux parc du Bic (Sépaq) et de Saint-Fabien-Sur-Mer qui abrite plusieurs chalets et maisons, dont les propriétaires sont pour la plupart des habitants de la ville de Montréal et de Québec. Cet emplacement au paysage unique au Québec et, pour le coup très touristique, génère continuellement un achalandage conséquent pour l’épicerie, et ce, en toute saison.

Un service unique et des recettes traditionnelles

La singularité de l’Épicerie Dépanneur Co-thé est son offre spécifique de service de prêt-à-manger dans la région. Elle propose une variété extraordinaire de plats cuisinés faits maison. L’intégralité de leurs recettes sont des recettes traditionnelles de famille qui font aujourd’hui le bonheur de plusieurs personnes à travers le Québec.

Une clientèle fidèle et diversifiée

« Les gens qui viennent nous voir consomment beaucoup », indique M. Côté. En plus de leur clientèle locale, l’épicerie dessert régulièrement la population des villages avoisinants tels que St-Eugène-de-Ladrière, St-Mathieu-de-Rioux, le Bic, Saint-Valérien, Saint-Simon et Rimouski. Chaque année, pendant la saison estivale, la population de St-Fabien passe aisément de 2000 habitants à 3500 habitants. L’Épicerie Dépanneur Co-thé s’est fait une excellente renommée auprès des touristes qui retournent les voir année après année. « Nous servons la troisième génération de touristes », explique M. Côté. Ils entretiennent avec la plupart de leurs clients une relation de longue date basée sur la satisfaction et la confiance.

Le coup de pouce cinématographique

Le film de Denis Villeneuve intitulé « Premier contact » sorti au cinéma en 2016 a également beaucoup contribué à la notoriété de l’Épicerie Dépanneur Co-Thé. Le film a été tourné dans la municipalité de St-Fabien et une bonne partie de l’équipe du tournage s’approvisionnait dans l’épicerie pendant toute la durée du tournage. Plusieurs personnes de l’équipe sont tombées sous le charme de la région et ont acquis à la suite de ce projet des chalets dans la région et compte aujourd’hui parmi la clientèle fidèle de l’épicerie.

Pourquoi considérer acheter l’Épicerie Dépanneur Co-thé ?

« Il faut d’abord que ça soit une histoire de coup de cœur ! » affirme M. Côté.

  1. L’entreprise est déjà très bien établie et a une excellente renommée provinciale.
  2. C’est une entreprise en pleine croissance qui a encore énormément de potentiels à exploiter et à développer. « L’industrie du prêt-à-manger offre toujours une multitude d’opportunités, par exemple l’intégration d’un service de livraison à domicile ou encore la vente en ligne de certains produits ou simplement développer de nouveaux produits », affirme M. Côté.
  3. Toutes les bonnes recettes familiales qui font le bonheur de plusieurs personnes à travers le Québec seront léguées au futur repreneur.
  4. C’est une entreprise idéale pour toute personne qui aime travailler dans l’alimentation sans pour autant souhaiter avoir un restaurant. L’Épicerie Dépanneur Co-thé est le compromis parfait.
  5. L’épicerie est jumelée à la résidence donc cela permet non seulement une certaine flexibilité pour les heures de travail, mais aussi un avantage important et pratique pour ce qui est du transport.

Qui est prêt à reprendre ce joyau régional ?

Le numéro de la fiche INDEX de l’Épicerie Dépanneur Co-thé est : 7401

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Cet article a été rédigé à l’intérieur d’une série dont l’objectif est de mettre en lumière de belles entreprises d’ici étant actuellement à la recherche d’une relève.

L’entreprise en bref : 4 générations de fer et de savoir-faire

H. Blanchette Ltée est un fabricant de métaux ouvrés et de structures d’acier cumulant déjà plus de 80 années d’historique et d’expertise. Ses propriétaires actuels, Maurice et Pierre Blanchette, représentent la 4e génération à la tête de l’entreprise fondée par leur arrière-grand-père, Louis-Joseph Blanchette.

Une histoire marquée par une croissance spectaculaire

Au début, il ne s’agissait que d’un humble atelier de menuiserie où l’on fabriquait des escaliers en bois pour les appartements résidentiels, sur la rue Laviolette à Trois-Rivières. Lorsque le fils de Louis-Joseph, Hervé Blanchette, arriva au sein de l’entreprise, il proposa d’ajouter la fabrication d’escaliers en fer ornemental à leur portfolio.

Quelques décennies plus tard, le fils de Hervé, Marcel Blanchette (le père du propriétaire actuel) amorça les débuts de la division fabrication industrielle de l’entreprise avec la création de structures d’acier de petite envergure, entre autres.

Cela nous amène ensuite à l’arrivée du propriétaire actuel, Maurice Blanchette. Il arriva dans l’entreprise avec son frère, qui s’occupa de la comptabilité, alors que lui terminait ses études en ingénierie. Ces derniers firent une étude pour constater que la fabrication d’escaliers en bois n’était pas rentable. Cependant, leurs produits faits en aciers l’étaient !

À la lumière de ce constat, les deux frères firent l’acquisition d’une usine à vendre à moins de 5 km de leur atelier, leur permettant d’exploiter plus efficacement ce marché. Cette décision a éventuellement amené H. Blanchette ltée à doubler son chiffre d’affaires, ce qui l’a poussée à agrandir l’usine de 10 000 à 16 000 pieds carrés. Le chiffre d’affaires a ensuite atteint 1,5 million de dollars. À ce stade, l’entreprise avait complètement délaissé le secteur résidentiel et se concentrait uniquement sur l’industriel.

Des employés expérimentés et dévoués

Les employés de H. Blanchette Ltée sont syndiqués depuis le début des années 80. Selon Maurice Blanchette, ce fut un événement positif pour l’entreprise. « Cela nous a permis de contribuer à garder une bonne entente avec nos employés et surtout, à les consolider », affirme-t-il. En effet, depuis la signature de la première convention collective, il n’y a eu aucun grief.

Au total, le fabricant trifluvien compte une douzaine de ressources : 7 sur le plancher et 5 au dessin ou à l’administration. M. Blanchette déclare fièrement que son équipe produit comme si l’entreprise comptait le double d’employés. L’expérience cumulée de ces derniers, de l’ordre de 20 ans en moyenne, et l’ambiance familiale qu’on y retrouve entre collègues, est en partie derrière ce phénomène.

Un travail d’équipe avec ses compétiteurs

L’ère des « gros méchants compétiteurs » est révolue, selon Maurice Blanchette. Au lieu de travailler contre ses compétiteurs, il travaille avec eux. Une pratique qui semble contre-intuitive, mais qui est profitable. « Quand c’est tranquille, on appelle nos compétiteurs et on leur demande s’ils ont du surplus de travail, vice-versa. C’est une situation qui est gagnante-gagnante au lieu de se morfondre lors de périodes difficiles. Nous avons appris à nous parler », explique l’entrepreneur.

De plus, H. Blanchette Ltée demeure stratégique dans ses investissements. Au lieu d’investir dans des machines de coupe, ils sous-traitent auprès de fournisseurs ce qui permet à l’entreprise de développer d’autres services qui ne sont pas offerts par leurs fournisseurs et compétiteurs.

Une clientèle établie et diversifiée

Les clients de H. Blanchette se divisent en deux catégories principales : les entrepreneurs généraux (alumineries, papeteries, etc.) et les installateurs qui font du montage d’acier (par exemple, pour la réparation de ponts). Ces derniers sont fidèles et reviennent en majorité au fil des ans.

La passerelle Passtech : l’innovation brevetée de l’entreprise

Depuis l’an 2000, le fabricant a développé un concept de fabrication unique : une passerelle d’acier en plaques pliées. La force de ce produit est que les clients peuvent dessiner la passerelle en quelques clics et l’envoyer automatiquement à un sous-traitant de H. Blanchette Ltée qui coupe, perce, plie et galvanise l’acier du fabricant. « On peut répondre au besoin du client de la conception jusqu’à la livraison », affirme fièrement M. Blanchette. Ce produit a été vendu à des clients importants, incluant Hydro-Québec et la Défense nationale.

Une certification ISO comme corde à son arc

Selon le propriétaire actuel de l’entreprise, l’obtention de la certification ISO permet que l’organisation du travail soit ordonnée et structurée. « C’est très facilitant et ça favorise le développement et la croissance de l’entreprise. Notre système est facilement applicable et vérifiable, en plus d’être muni de logiciels d’avant-garde ».

Perspectives d’avenir : pourquoi s’intéresser à H. Blanchette Ltée en tant que repreneur ?

« Le cheval est déjà en course », répond M. Blanchette.

  1. L’entreprise est bien établie sur le Web.
  2. Comme il s’agit d’une entreprise de 4e génération, le repreneur pourra profiter d’humbles conseils issus de la mémoire familiale qui s’est forgée sur presque un siècle. Son principal conseil : penser comme une grande entreprise et dépenser comme une petite entreprise !
  3. L’usine ne couvre que 16 000 pieds carrés sur les 75 000 pieds carrés du terrain ou elle se situe : il y a de l’espace en masse pour grandir.
  4. La majorité des clients se situent au Québec. Les occasions en Ontario, dans l’Ouest canadien, dans les Maritimes ou même à l’international sont encore à saisir.

À qui la chance de reprendre ce bijou régional ?

Le numéro de la fiche INDEX de H. Blanchette Ltée est le :  8117

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Cet article a été rédigé à l’intérieur d’une série dont l’objectif est de mettre en lumière de belles entreprises d’ici étant actuellement à la recherche d’une relève.

L’entreprise RO-MA, fabricant et distributeur spécialisé dans des produits d’injection d’aluminium sous pression et d’injection de plastique a été fondée en 1971 et reprise en 1976 par la famille Cossette. Propriétaires depuis près de 45 ans, ils ont été les piliers d’une entreprise dynamique et ils ont toujours été soucieux de son développement.

Même si l’entreprise éprouvait certaines difficultés lors de l’acquisition, la famille Cossette a cru en son potentiel et a investi dans l’entreprise afin de la relancer. Comme toute entreprise, elle a dû faire face à des changements selon le marché et s’adapter tout au long de sa vie. À titre d’exemple, lors d’une baisse de la demande dans le secteur de la motoneige, où RO-MA était un fournisseur important de pièces moulées, l’entreprise a su réajuster ses opérations et innover en s’orientant vers un autre produit : la roue !

Ils ont créé un brevet pour une roue utilisée dans des équipements de manutention. Une roue que l’on voit partout maintenant. Autant sur les chariots de supermarché que dans les usines ou dans les bureaux de poste. Une roue avec une semelle ne se séparant pas de la jante. Ce produit est un pilier de leur entreprise encore aujourd’hui. Un virage qui s’est avéré être un jalon de leur croissance pour plusieurs années !

Comme la plupart de leurs clients actuels se situent principalement au Québec et aux États-Unis, l’entreprise a donc ajouté la distribution en complément. Ce qui est très apprécié de leur clientèle.

Lors de la crise économique de 2008, comme la plupart des entreprises, RO-MA a connu une certaine baisse des ventes, mais s’est rapidement réajustée. Le contrôle des dépenses, une revue des méthodes de travail combiné au fait que le prix des matières premières avait aussi diminué, leur a réussi ! De plus, comme la réparation des équipements est souvent plus courante que l’achat de nouveaux équipements en période de crise économique, le réseau de distribution de RO-MA a pu continuer de fournir des roues de remplacement à sa clientèle.

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Une entreprise résiliente, dynamique et qui n’a pas peur du développement continu

L’entreprise a démontré une résilience continue et a su se réajuster, corriger le tir en fonction de l’évolution du marché et acquérir de nouveaux clients lors de la fermeture de certains de ceux-ci.

« On a vécu des périodes difficiles, mais nous nous sommes toujours réorientés », affirme M. Guy-Paul Cossette, président-directeur général de RO-MA.

Des employés engagés

De plus, parmi la quinzaine d’employés que compte RO-MA, le taux de roulement est quasi inexistant. Les membres de l’équipe administrative y travaillent depuis plusieurs années et en ce qui concerne les ressources de l’usine, quelques retraites ont amené de nouvelles embauches, qui y sont depuis plus de 2 ans déjà. Avec le dynamisme de la direction de l’usine, les employés sont bien formés et l’organisation du travail s’ajuste selon les besoins du marché.

Des investissements récents

Même à l’orée de la retraite, M. Cossette continue d’investir dans le développement de l’entreprise. Le développement le stimule toujours ! Il travaille actuellement sur la refonte de son site Web, le changement du système informatique et l’amélioration d’équipements.

Une clientèle diversifiée et fidèle

M. Cossette juge que sa clientèle est assez diversifiée et il entretient une relation de longue date avec celle-ci. En effet, certains clients achètent chez RO-MA depuis une quarantaine d’années. Et plusieurs clients font confiance à RO-MA depuis 20 ans.

Perspectives d’avenir

« Le potentiel de RO-MA est grand », estime M. Cossette. Ayant déjà une belle quantité de moules à injection en stock, d’autres peuvent être développés pour fabriquer de nouveaux produits. D’autres marchés peuvent être exploités, comme par exemple, le reste du Canada. Avec une tendance pour l’achat local qui se dessine en raison de la pandémie de la COVID-19, les autres provinces canadiennes représentent un potentiel encore inexploité.

Le numéro de la fiche INDEX de RO-MA est le : 11187

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