Étiquette : conseiller CTEQ

Plusieurs avenues sont possibles quand vient le temps de vendre une entreprise. Différents acteurs interviendront et il est important de bien les choisir pour un transfert harmonieux.

courtier ou conseiller

Pour bien comprendre ce qui distingue les services offerts par les conseillers du CTEQ et ceux d’un courtier en vente d’entreprise, nous nous sommes entretenus avec Nathalie Boudreau, conseillère en transfert d’entreprise au CTEQ, et Stanislas Didier, directeur ventes et acquisitions d’entreprises chez BluuGlass.

La mission du Centre de transfert d’entreprise du Québec

Chef de file du repreneuriat au Québec, le CTEQ est un organisme de développement économique qui offre une solution unique combinant une équipe-conseil en transfert d’entreprise et une plateforme confidentielle de mise en relation entre acheteurs et vendeurs de PME. Service-conseil neutre et personnalisé – Occasions d’affaires – Réseau d’affaires – Formations et événements sont offerts afin de donner les meilleures chances de succès pour la réalisation d’un projet de vente ou d’achat d’entreprise.

Quelle est celle du courtier en vente d’entreprise ?

L’objectif du courtier en vente d’entreprise est de trouver le repreneur idéal pour l’achat de l’entreprise de son client. Sa mission est aussi d’assurer la pérennisation des entreprises.

Une mission commune : assurer la pérennisation des entreprises

C’est dans l’intérêt général du Québec d’assurer la continuité des entreprises d’ici. Ce sont les intérêts des intervenants qui peuvent varier. Les conseillers du CTEQ sont là pour créer une synergie entre les intervenants et assurer la réussite du transfert. Un courtier en vente d’entreprise est un professionnel offrant un service.

Quel est le rôle d’un courtier en vente d’entreprise ?

Stanislas Didier, directeur ventes et acquisitions d’entreprises chez BluuGlass, indique que sont rôle est d’accompagner le propriétaire dans la vente de son entreprise. Grâce à ses connaissances et à son réseau, il s’assure de trouver le repreneur idéal pour en assurer la continuité.

À quoi ressemble le processus ?

« La première chose que je fais, c’est d’évaluer les motivations du cédant à vendre son entreprise. Et je récolte toutes les informations nécessaires pour bien la comprendre.

Ensuite, j’évalue la valeur de l’entreprise et au besoin, supervise l’évaluation des équipements et améliorations locatives de l’entreprise si elle n’est pas déjà faite. On le voit souvent, les cédants ont tendance à en surestimer la valeur, car ils y sont très attachés. Mais il y a une différence notable entre la valeur attribuée par le cédant, la valeur comptable, celle des banques et la valeur sur le marché.

Une fois le portrait global de l’entreprise terminé, je travaille avec le cédant pour définir la stratégie de mise sur le marché. On monte un dossier marketing et financier avec les meilleurs atouts pour avoir l’angle le plus avantageux à présenter : les améliorations récentes, l’équipe d’expérience, les projets potentiels, etc.

Lorsque je trouve un repreneur potentiel, je l’accompagne également dans la recherche de financement. Je prends donc en main les deux parties avec l’objectif de finaliser la transaction.

La rémunération varie en fonction des courtiers, certains ont des frais fixes, mais dans mon cas, il s’agit d’une vente à la commission. »

Quel est le rôle des conseillers et conseillères du CTEQ ?

Nathalie Boudreau, conseillère en transfert d’entreprise au CTEQ, indique qu’en tant que professionnel en transfert d’entreprise, elle n’est pas une spécialiste en évaluation d’entreprise, en droit des affaires ou encore en comptabilité. « Nous maîtrisons le transfert d’entreprise dans sa globalité », ajoute-t-elle.

Les conseillers et conseillères du CTEQ sont les chefs d’orchestre. Ils s’assurent du bon déroulement de la transaction.

Ils amènent les cédants et les repreneurs à s’organiser de façon structurée. Ils les accompagnent et les guident pour mener à bien le projet de transfert.

Leur rôle est d’agir comme un phare pour les cédants et les repreneurs. Ces derniers se tournent vers le CTEQ pour parler avec un tiers parti neutre. Les conseillers du CTEQ n’ont aucun intérêt pécuniaire et ne sont pas payés à la commission.

Quand un cédant se tourne vers le CTEQ, à quoi ressemble le processus ?

« Nos interventions portent sur l’humain avant tout. Qu’est-ce qui motive le cédant à vouloir vendre son entreprise ? Est-ce qu’il est prêt pour la suite, quelle qu’elle soit ?

On guide le cédant vers les bonnes ressources, on s’assure que l’évaluation d’entreprise se fasse de la bonne façon, on l’aide à se bâtir un cercle de conseillers, on lève les drapeaux rouges au besoin.

Grâce à la formation offerte, on aide aussi le cédant ou le repreneur à parler le même langage que les spécialistes et à comprendre les différentes étapes d’un transfert d’entreprise.

On crée également des occasions d’affaires entre les repreneurs et les cédants grâce à l’INDEX, notre répertoire d’entreprises à vendre.

Comment trouve-t-on un bon courtier en vente d’entreprise ?

Un bon courtier doit réellement être spécialisé dans la vente d’entreprise. Il doit aussi connaître les subtilités de votre secteur d’activités. Il doit chercher à bien comprendre votre entreprise afin de trouver le repreneur qu’il vous faut. Il saisit bien ce qu’il vend : des actifs ou des actions ?

Un bon truc : écoutez votre intuition. Comment vous sentez-vous en compagnie de votre courtier ? Calme, écouté, compris, respecté ? Ou agité, précipité, stressé ? Votre ressenti vous en dira long sur ce qui s’en vient. Assurez-vous qu’il travaille pour vous et non pour lui.

Si vous désirez faire affaire avec un courtier, choisissez un avec qui vous vous sentirez à l’aise pour travailler et qui respectera votre rythme de croisière.

Un conseil pour ceux et celles qui pensent à la vente de leur entreprise ?

Stanislas Didier, directeur en ventes et acquisitions d’entreprises chez BluuGlass : Il faut éviter d’attendre qu’il soit trop tard. Le cédant doit encore aimer son entreprise. S’il est enthousiaste, c’est beaucoup plus vendeur.

L’actif le plus important de l’entreprise, c’est la santé des propriétaires. Il faut être conscient de sa santé physique et mentale pour être en mesure d’en profiter.

Des services complémentaires

Les conseillers et conseillères du CTEQ offrent des services complémentaires à ceux des courtiers en vente d’entreprise. C’est-à-dire que le cédant peut profiter de l’accompagnement du CTEQ et utiliser les services d’un courtier en vente d’entreprise. L’un n’empêche pas l’autre. Le CTEQ peut même vous aider à identifier les caractéristiques d’un bon courtier !

N’hésitez donc pas à faire appel notre équipe présente dans toutes les régions du Québec !

conseiller en entreprise

Un facilitateur neutre

Au CTEQ, nous aidons autant les cédants que les repreneurs d’entreprise. Un de nos rôles principaux est celui de gardien du processus de transfert d’entreprise. Nous n’avons pas de parti pris ni d’implications financières dans les transferts, deux gages de notre objectivité. Notre seul intérêt : assurer la pérennité des entreprises québécoises à travers une transition fluide et satisfaisante pour chaque partie prenante.

 

Au cœur d’un vaste réseau

En sa qualité d’organisme de référence panquébécois, le CTEQ travaille en collaboration avec tout un écosystème d’experts du transfert d’entreprise. Il sert de liant entre les expertises et les besoins des repreneurs et des cédants. Pour chaque repreneur et cédant qui nous consulte, nous garantissons le référencement de ressources qui pourront l’aider à faire avancer son projet. Faire appel au CTEQ, c’est avoir accès à ce vaste réseau d’experts et de collaborateurs.

 

L’humain avant tout

Dans notre approche, la vente ou l’achat d’une entreprise n’est pas traité comme une simple transaction, mais plutôt abordé comme le projet d’un être humain. Projet de retraite pour l’un, rêve de devenir patron pour l’autre; certains sont motivés par l’envie de faire fructifier un capital, d’autres guidés par une passion à transmettre, à léguer ! Nous ne sommes pas là pour juger de vos motivations, mais bien pour assurer l’avancement de votre projet. Dans nos efforts de maillage entre les cédants et leur relève, nous nous assurons également d’un bon arrimage émotionnel, garant du transfert harmonieux des avoirs, des pouvoirs et des savoirs.

 

Une offre flexible

Parmi notre éventail de services, le repreneur ou le cédant, selon son expérience et ses besoins, pourra faire appel à une aide ponctuelle, un outil ou une approche personnalisée à travers les étapes de sa démarche. Entre les deux, c’est le monde des possibles ! Nous nous adaptons à vos besoins et soutenons tout type de repreneur et de cédant, sans discrimination d’âge, d’expérience, de taille d’entreprise et de la nature du transfert d’entreprise.

Certains se contenteront de s’inscrire à l’INDEX, notre plateforme en ligne confidentielle et neutre qui rassemble des entreprises à vendre de tous les secteurs et régions du Québec, ainsi que des entrepreneurs à la recherche d’une entreprise à acheter. C’est le meilleur site de rencontre pour la relève en affaires !

 

À lire : L’INDEX du CTEQ : un puissant outil de recherche au service des vendeurs et acheteurs d’entreprise

 

Ceux qui souhaiteront plus d’accompagnement pourront faire appel au programme CTEQ+, une solution plus exhaustive pour les cédants et les repreneurs souhaitant être guidés dans les différentes phases de leur processus respectif. Le CTEQ+ propose une approche intégrée qui donne accès à :

  • Un plan d’action rédigé par un conseiller
  • Une boîte à outils
  • Des rabais sur nos formations et d’autres avantages

Des plus accessibles

Notre accessibilité se définit par le fait que le CTEQ est ancré dans la réalité des 17 régions administratives québécoises. Nos conseillers travaillent sur leur territoire et en connaissent les spécificités.

Finalement, c’est grâce, entre autres, à nos partenaires publics et privés que nous pouvons offrir des ressources à tarifs des plus accessibles pour vous aider à concrétiser votre projet et ainsi remplir pleinement notre mission : assurer la pérennité de nos précieuses PME québécoises.

Communiquez avec nous pour toutes questions!

Rencontre avec un conseiller en transfert d'entreprise

La recherche et la reprise d’une entreprise à vendre peuvent durer plusieurs années. Afin de bien planifier les étapes de ce long processus, une rencontre avec un conseiller du CTEQ s’avère l’option la plus prometteuse. À quoi vous attendre lors de la première rencontre ? C’est ce que nous allons décortiquer avec vous dans cet article.

Sachez cependant que selon le conseiller de votre région, les étapes et questions peuvent varier, car chaque accompagnement est unique.

Tout commence par une première rencontre… en virtuel, pandémie oblige !

Comme lors de toute rencontre du genre, votre conseiller va débuter en vous présentant l’organisation : sa mission, sa vision, son fonctionnement, son déploiement provincial, etc.

Un des éléments importants lors de ce rendez-vous est la présentation des produits et services offerts par le CTEQ. C’est une première étape cruciale pour vous orienter vers une offre adaptée à vos besoins. Chaque situation est différente. Votre conseiller vous présentera alors les outils à votre disposition :

– Les formations offertes

– Les événements et conférences à venir

– Notre blogue

– Nos capsules informatives

Mais surtout, ce dernier vous présentera notre populaire répertoire d’entreprises à vendre nommé l’INDEX. Il s’agit du répertoire repreneurial le plus complet au Québec. Cette plateforme vous permettra de cibler des entreprises à vendre qui correspondent à vos désirs, mais également de vous afficher auprès de propriétaires-dirigeants à la recherche d’une relève.

Sachez tout de même que l’affichage à l’INDEX se fait de façon confidentielle. C’est au moment où une occasion d’affaires devient concrète que les deux parties auront plus d’informations les uns sur les autres. De plus, le cas échéant, une entente de confidentialité sera signée afin de maintenir confidentiels les futurs échanges.

Maintenant, établissons votre profil de repreneur

Pour mieux vous guider dans vos démarches, votre conseiller aura inévitablement besoin d’en savoir plus sur vous :

– Avez-vous déjà entamé des démarches à ce jour ?

– Quel est votre niveau de connaissance du processus de transfert d’entreprise ?

– Quelles sont vos motivations ?

– Vous recherchez une entreprise qui œuvre dans quel secteur d’activité et quels sont ceux à éviter ?

– Dans quelle région du Québec recherchez-vous une entreprise ?

– Dans un horizon de combien de temps désirez-vous acquérir une entreprise ?

– Avez-vous des partenaires (famille, conjoint.e, amis, etc.) ?

– Avez-vous établi le montant disponible pour une mise de fonds ?

– Avez-vous des besoins de formation additionnelle ?

Il ne s’agit là que de quelques exemples des sujets qui seront abordés. À noter que ces réponses pourront également servir à bonifier votre profil de repreneur et préciser votre projet d’acquisition au sein de l’INDEX.

Pourquoi opter pour un conseiller du CTEQ ?

La promesse CTEQ c’est un accompagnement confidentiel, professionnel, humain et à très faible coût. C’est un accompagnement à travers tout le processus de transfert ou uniquement des interventions plus pointues à certaines étapes pour une plus grande autonomie, si tel est votre désir.

De plus, nos conseillers sauront vous diriger vers des professionnels fiables qui sont appelés à intervenir dans le processus de transfert : experts-comptables, avocats, notaires, fiscalistes, planificateurs financiers, courtiers en assurance, psychologues, etc.

Au terme de cette rencontre d’environ une heure, vous serez informé des étapes à venir en fonction de votre situation. Retenez que leur but est de maximiser les chances de réussite de votre projet de transfert et, ainsi, contribuer à la mission numéro 1 du CTEQ : la pérennité des entreprises québécoises !

N’hésitez plus et entamez vos démarches avec nous !

Vous pourriez aimer aussi : Propriétaires-dirigeants : à quoi vous attendre lors d’une première rencontre avec un conseiller du CTEQ

Centre de transfert d’entreprise du Québec

1 877 200-2837, poste 1000
[email protected]
www.ctequebec.com

La vente d’une entreprise à une relève externe peut prendre plusieurs années. Afin de bien planifier les étapes de ce long processus, une rencontre avec un conseiller du CTEQ s’avère l’option la plus prometteuse.  À quoi vous attendre lors de la première rencontre avec un conseiller du CTEQ ? C’est ce que nous allons décortiquer avec vous dans cet article. Sachez cependant que selon le conseiller de votre région, les étapes et questions peuvent varier, car chaque accompagnement est unique.

Tout commence par une bonne poignée de main… virtuelle bien sûr !

Comme lors de toute rencontre du genre, le conseiller va débuter en vous présentant l’organisation : sa mission, sa vision, son fonctionnement, son déploiement provincial, etc.

Un des éléments importants lors de ce rendez-vous est la présentation des produits et services offerts par le CTEQ. C’est une première étape cruciale pour vous orienter vers une offre adaptée à vos besoins. Chaque situation est différente. Le conseiller vous présentera alors les outils à votre disposition, les formations offertes, les événements et conférences à venir, mais surtout, notre répertoire d’entreprises à vendre, nommé l’INDEX (nous reviendrons sur cette plateforme un peu plus loin de cet article).

Propriétaire-dirigeant, parlez-nous de vous

Pour mieux vous orienter, votre conseiller aura inévitablement besoin d’en savoir plus sur vous :

  • À quoi ressemble votre parcours entrepreneurial ?
  • Qu’est-ce qui motive la vente de votre entreprise ?
  • Quelles sont vos attentes envers le CTEQ ?
  • Avez-vous d’autres projets pour la suite ?

Le but demeure le même : faire le portrait le plus juste de votre situation.

Parlons maintenant de votre entreprise

Dans le même ordre d’idée, afin de vous offrir un service optimal, votre conseiller devra vous poser des questions concernant votre entreprise. En voici quelques exemples :

  • Êtes-vous propriétaire unique ?
  • Est-ce que votre conjoint ou conjointe est impliqué dans le processus de vente ?
  • Y aurait-il une possibilité de relève interne par un ou plusieurs employés ?
  • Vous êtes-vous fixé des délais ?
  • Avez-vous établi le prix de vente ?
    • Si oui, quand est-ce que l’évaluation a été faite ?
    • Si non, connaissez-vous un expert en évaluation d’entreprises ?

Sachez que pour le dernier point, à tout moment durant le processus, le CTEQ peut vous fournir un minimum de 3 références. Cela vaut pour tous les types d’acteurs qui interviendront dans le processus : experts-comptables, avocats, notaires, fiscalistes, planificateurs financiers, courtiers en assurance, psychologues, etc.

Et l’INDEX dans tout ça ?

Si, comme la grande majorité de nos clients, vous faites le choix de vous prévaloir de notre service d’affichage sur l’INDEX, le répertoire d’entreprises à vendre du CTEQ, il faudra y afficher un minimum d’information sur votre entreprise. Le prix de vente, le chiffre d’affaires des trois dernières années et le BAIIA en sont des exemples.

Sachez tout de même que l’affichage à l’INDEX se fait de façon confidentielle. Au moment où un maillage devient concret, le profil du repreneur intéressé vous sera présenté. Ce sera à vous de confirmer s’il correspond au profil que vous cherchez. Le cas échéant, une entente de confidentialité sera signée de part et d’autre afin de maintenir confidentiels les futurs échanges.

Enfin, au terme de cette rencontre d’environ une heure, vous serez informé des étapes à venir en fonction de votre situation. Vous aurez la promesse CTEQ d’un accompagnement confidentiel, professionnel et humain.

Retenez que tout au long de votre parcours, votre conseiller sera disponible afin de répondre à vos questions, tout en s’assurant que vous serez entouré des bons experts. Le but étant de maximiser les chances de réussite de votre projet de transfert et, ainsi, contribuer à la mission numéro 1 du CTEQ : la pérennité des entreprises québécoises !

Pour toutes questions, n’hésitez pas à communiquer avec nous !

Depuis l’étranger, vous songez à vous établir au Québec et reprendre les rênes d’une entreprise québécoise ? C’est tout à fait réalisable. Le Centre de transfert d’entreprise du Québec (CTEQ) est une organisation paragouvernementale, dont la mission première est de s’assurer que les milliers d’entreprises québécoises actuellement en vente au Québec trouvent de nouveaux acquéreurs. Pour ce faire, le CTEQ accompagne activement depuis 2015 des personnes d’ici et d’ailleurs dans leur processus d’achat d’entreprise, et ce, à travers les 17 régions administratives du Québec. Cependant, il faut savoir que s’installer au Québec avec l’objectif de reprendre les rênes d’une entreprise québécoise est un projet qui se prépare et qui mérite plusieurs réflexions. Nous vous proposons de découvrir dans cet article, quelques étapes essentielles à considérer et à explorer avant de vous lancer dans cette aventure palpitante !

Préparez-vous

Cela est essentiel ! Déterminez les raisons pour lesquelles vous souhaitez reprendre une entreprise. Définissez les grandes lignes de votre projet, vos objectifs à long terme et le secteur d’entreprise dans lequel vous souhaitez œuvrer. Demandez-vous si vos compétences et connaissances liées à l’industrie visée sont suffisantes et planifiez votre achat d’entreprise sur du moyen à long terme. Toutes ces questions sont importantes pour la réussite de votre projet. Ensuite, entamez en parallèle vos démarches en matière d’immigration.

Informez-vous

Il est important de développer une très bonne connaissance de votre pays d’accueil avant de vous y établir définitivement. Cela vous permettra d’en discerner les codes culturels et y être opérationnel le plus rapidement possible. Vous devez donc vous familiariser avec votre nouvelle terre d’accueil, sa culture, ses pratiques d’affaires, son système bancaire. Pour ce faire, il est recommandé d’envisager dans un premier temps une visite exploratoire. Lors de cette première visite, immergez-vous dans la culture québécoise et commencer à développer votre réseau d’affaires. Prenez contact avec des personnes du milieu financier et commencez à vous accoutumer aux pratiques, aux termes et aux exigences de ce milieu qui ne sont certainement pas les mêmes que dans votre pays d’origine. Vous éviterez ainsi certains imprévus.

À lire : Pourquoi immigrer et acheter une entreprise dans une région du Québec ?

Contactez le CTEQ

Le CTEQ en raison de sa mission est le chef de file du repreneuriat (transfert d’entreprises) au Québec. Ses conseillers sont disponibles et disposés pour vous accompagner dans votre projet d’achat. Ils vont vous aider à bien structurer votre projet d’affaires, vous permettre d’avoir accès à un grand réseau de professionnels (avocats, comptables, évaluateurs d’entreprise, etc.) et s’assurer que vous traitiez avec les bonnes personnes. Ils vont également veiller au bon déroulement du processus de transfert d’entreprise et vous référer au besoin aux organismes partenaires qui œuvrent aussi dans l’écosystème entrepreneurial québécois et qui ont une expertise complémentaire à celle du CTEQ. Apprenez-en un peu plus sur le rôle des conseillers du CTEQ dans cet article.

De plus, il faut noter que le CTEQ détient actuellement le répertoire repreneurial le plus complet au Québec appelé l’INDEX où sont affichées des centaines d’entreprises qui cherchent actuellement une relève. Nos conseillers sont ainsi habiletés et outillés pour vous proposer des occasions d’affaires uniques qui répondent à vos attentes dans la région du Québec où vous compter vous établir. Visitez l’INDEX pour en savoir plus et retrouvez un article complet sur cet excellent outil.

Les statistiques démographiques démontrent que le vieillissement de la population québécoise engendre depuis quelques années un départ accru à la retraite de plusieurs propriétaires-dirigeants qui souhaitent vendre leur entreprise à une relève motivée et passionnée qui emmènera leur entreprise encore plus loin. Plusieurs occasions s’offrent à vous si vous décidez de sauter le pas. Alors, n’hésitez plus !

Le plus important est de ne pas oublier que dans un transfert d’entreprise, c’est l’humain qui est au centre et qui prime. Il faut donc entretenir une relation de confiance, de transparence et une excellente communication entre toutes les parties. Le CTEQ est justement là pour créer ces liens et veiller au bon succès de votre projet d’achat d’entreprise.

Pour toutes questions, n’hésitez pas à communiquer avec nous.

Centre de transfert d’entreprise du Québec 1 844 200-2837, poste 1000

[email protected]

Le conseiller en transfert d’entreprise au CTEQ aide les propriétaires-dirigeants et les acquéreurs d’entreprise à mener à bien leur projet de vente ou d’achat d’entreprise. En effet, il s’agit d’un professionnel généraliste qui maîtrise le processus de transfert dans son intégralité et qui a pour principal objectif la réussite du projet de transfert. Quel est son rôle ? Par quel moyen intervient-il ? Pourquoi est-il important de se faire accompagner par un conseiller en transfert d’entreprise ? Retrouvez toutes les réponses dans le présent article.

Le rôle du conseiller en transfert d’entreprise du CTEQ

Lors d’un transfert d’entreprise, c’est-à-dire lors de la vente ou de l’acquisition d’une entreprise, hormis les experts, il est recommandé au vendeur et à l’acheteur de se faire accompagner par un professionnel, un chef d’orchestre qui a une vision globale et parfaite du processus de transfert d’entreprise. Le conseiller du CTEQ, aux côtés de son client, agit avec transparence, neutralité et en toute confidentialité. Il accompagne l’entrepreneur dans son projet de vente ou d’achat d’entreprise avec pour objectif premier d’assurer le succès de la transaction. Il aide son client tout au long de sa démarche, répond en suivant son rythme à ses différentes interrogations et le soutien dans n’importe quelle phase du processus lorsque nécessaire.

Par quels moyens intervient-il ?

Dès lors qu’il est contacté, le conseiller du CTEQ fixe une première rencontre avec son client. Lors de cette rencontre et à l’aide d’un questionnaire détaillé, il dresse un profil de ce dernier afin de mieux cerner ses besoins et attentes. Il lui présente ensuite les différents services et outils offerts par le CTEQ pour mener à bien son projet de transfert d’entreprise (l’INDEX et les formations). Une fois les informations utiles partagées de part et d’autre, le conseiller pourra ensuite :

Pourquoi est-il important de se faire accompagner par un conseiller du CTEQ ?

Le conseiller en transfert d’entreprise du CTEQ peut être consulté pour différentes raisons :

Finalement, il ne faut pas oublier qu’un entrepreneur va probablement vendre ou acheter une seule fois une entreprise au courant de sa vie. De plus, le fait de connaître et de maîtriser les différentes phases du processus de transfert d’entreprise n’est pas donné à tout le monde. Dès lors, pour rendre cette expérience bonne et agréable, il est conseillé de se faire accompagner par un professionnel du domaine qui agit en toute neutralité. Le conseiller du CTEQ crée des liens et rend la communication plus fluide entre les différentes parties. Il joue un rôle de guide, d’éclaireur, de facilitateur, d’accompagnateur et de coach. C’est le gardien du processus de transfert qui a à cœur la réussite de votre projet d’achat ou de vente d’entreprise. Nos conseillers demeurent disposés et disponibles pour vous accompagner dans votre projet. Communiquez avec nous !

Dans cette capsule, Serge Bastien, conseiller au Centre de transfert d’entreprise du Québec nous présente la clause de complément de prix également appelé la clause d’earn-out comme une solution possible à intégrer dans les négociations lors d’un transfert d’entreprise dans un contexte de crise.

 

Les points abordés sont les suivants:

 

 

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Mai 2020

À la question : « Quel est l’impact de la pandémie sur la gestion des ressources humaines, plus particulièrement sur les activités de recrutement ? ».
Nous répondons : « Excellente question ! ». Voici la réponse de Sylvie Bacon, CRHA et directrice de l’équipe-conseil au Centre de transfert d’entreprise du Québec.

 

[rev_slider alias= »recrutement »]

 

La pandémie a scindé en, quelque sorte, notre économie en trois :

Cette nouvelle réalité fait en sorte qu’il y a soudainement beaucoup plus de personnes sans emploi. Si vous parlez à des professionnels en ressources humaines et à des recruteurs, ils seront les premiers à vous dire qu’ils reçoivent un plus grand nombre de CV actuellement, et on peut le comprendre avec toutes ces personnes nouvellement mises à pied, potentiellement à la recherche de nouveaux défis.

C’est dire à quel point le marché a changé rapidement ! Il n’y a pas encore si longtemps, nous étions en pleine pénurie de main-d’œuvre généralisée !

Est-ce qu’on peut recruter en cette période de pandémie ? La réponse est oui, bien sûr, mais à deux conditions :

 

S’adapter au nouveau contexte de travail pour mieux rebondir signifie quoi lorsqu’on pense à recruter ? Trois aspects sont importants à considérer :

  1. Le premier est qu’on aura pris le temps d’identifier « les vrais services essentiels » au sein de notre entreprise.

 

Nous avons vite constaté avec la pandémie qu’on ne pouvait pas continuer à faire les mêmes choses, et encore moins de la même façon qu’avant. La pandémie nous a vraiment forcés à identifier et nous centrer sur ce que sont « les services essentiels » au sein de chacune de nos organisations.

 

  1. Le 2e aspect important est que le virage technologique soit bien intégré et adopté à l’intérieur de votre organisation.

 

Regardez à quel point la capacité de fonctionner à distance et d’avoir des employés en télétravail fait la différence dans les organisations actuellement. La pandémie nous oblige non seulement à revoir nos façons de faire, mais bouscule des idées préconçues qu’on aurait pu avoir sur le télétravail par exemple. Plusieurs croyaient encore jusqu’à tout récemment que d’avoir tous les employés en télétravail n’était pas possible, ou certainement pas aussi productif… Et pourtant !

 

Ce qui était impensable il y a à peine deux mois devient une solution tout à fait viable actuellement. Il faudra s’y habituer, car ces mesures dites temporaires risquent de demeurer avec nous assez longtemps. Je pense notamment au fait que malgré les annonces de déconfinement progressif, il semble que la distanciation sociale restera quant à elle encore un bon moment avec nous.

 

 

  1. Le 3e élément est si nous en avons profité pour adapter nos processus et pour revoir les descriptions de postes en fonction des nouveaux besoins.

Ce qui implique de revoir nos façons de faire en matière de recrutement et d’embauche de personnel pour les rendre accessibles, même à distance, afin de pouvoir offrir cette nouvelle alternative et cette agilité à votre organisation.

Je ne fais pas seulement allusion ici aux entrevues d’embauche, mais aux tests d’aptitudes, au processus d’intégration de nouveaux employés et même à la formation.

Évidemment, il y a des exceptions et il y a des postes qui ne pourront pas être pourvus ni s’exécuter à distance. Mais une chose est certaine, le statu quo n’est pas une option !

 

Pensez-y, la vidéoconférence peut facilement être utilisée pour mener des entrevues de sélection. Elles permettent tout aussi bien de voir les réactions et saisir les subtilités du langage non verbal des candidats : est-ce que la personne lit ses notes, cherche ses réponses, regarde ailleurs, semble inconfortable, etc.

La même chose s’applique en ce qui a trait au processus d’intégration pour les nouveaux employés. On peut utiliser la vidéoconférence pour présenter les collègues de travail, et il existe même des technologies qui facilitent la formation en permettant les partages d’écran et de documents en temps réel. Ce qui veut dire que même la formation sur vos outils de gestion internes pourrait se faire à distance. 

Au même titre que je ne pense pas que ce soit réaliste pour toutes les entreprises d’aller de l’avant avec leur recrutement actuellement, je ne pense pas que ce soit une bonne idée d’attendre que toutes les mesures soient levées avant de commencer. Comme décrit plus haut, il y a un nombre accru de candidats sur le marché actuellement, et cette fenêtre d’opportunité ne sera pas toujours là.

 

En résumé, trois éléments à retenir :

  1. Prenez le temps de réexaminer les profils de postes que vous avez à pourvoir en fonction de ce qui est vraiment nécessaire, essentiel pour vos organisations.
  2. Misez sur la connaissance et l’utilisation des technologies. Le virage numérique est un incontournable !
  3. Adaptez vos processus et vos outils afin de faire en sorte que vos méthodes de recrutement et d’embauche ne soient pas des obstacles pour aller de l’avant, mesures de distanciation ou non !

 

Prenez soin de vous et prenez soin de vos employés !

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Avril 2020

Dans cette capsule, Jean-Pascal Dumont, coordonnateur provincial au développement du repreneuriat collectif au Centre de transfert d’entreprise du Québec (CTEQ) reçoit Michel Ferland, directeur général de la Fédération des coopératives d’alimentation du Québec pour discuter des forces du modèle coopératif en temps de crise.

 

Les questions suivantes seront abordées :

 

 

 

Pour toutes questions, n’hésitez pas à communiquer avec nous!

 

Avril 2020

Dans cette capsule, Jean-Pascal Dumont, coordonnateur provincial au développement du repreneuriat collectif au Centre de transfert d’entreprise du Québec (CTEQ) reçoit Michel Ferland, directeur général de la Fédération des coopératives d’alimentation du Québec pour discuter des forces du modèle coopératif en temps de crise.

Les thèmes suivants seront abordés :

 

 

 

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