Étiquette : conseiller CTEQ
Depuis l’étranger, vous songez à vous établir au Québec et reprendre les rênes d’une entreprise québécoise ? C’est tout à fait réalisable. Le Centre de transfert d’entreprise du Québec (CTEQ) est une organisation paragouvernementale, dont la mission première est de s’assurer que les milliers d’entreprises québécoises actuellement en vente au Québec trouvent de nouveaux acquéreurs. Pour ce faire, le CTEQ accompagne activement depuis 2015 des personnes d’ici et d’ailleurs dans leur processus d’achat d’entreprise, et ce, à travers les 17 régions administratives du Québec. Cependant, il faut savoir que s’installer au Québec avec l’objectif de reprendre les rênes d’une entreprise québécoise est un projet qui se prépare et qui mérite plusieurs réflexions. Nous vous proposons de découvrir dans cet article, quelques étapes essentielles à considérer et à explorer avant de vous lancer dans cette aventure palpitante !
Préparez-vous
Cela est essentiel ! Déterminez les raisons pour lesquelles vous souhaitez reprendre une entreprise. Définissez les grandes lignes de votre projet, vos objectifs à long terme et le secteur d’entreprise dans lequel vous souhaitez œuvrer. Demandez-vous si vos compétences et connaissances liées à l’industrie visée sont suffisantes et planifiez votre achat d’entreprise sur du moyen à long terme. Toutes ces questions sont importantes pour la réussite de votre projet. Ensuite, entamez en parallèle vos démarches en matière d’immigration.
Informez-vous
Il est important de développer une très bonne connaissance de votre pays d’accueil avant de vous y établir définitivement. Cela vous permettra d’en discerner les codes culturels et y être opérationnel le plus rapidement possible. Vous devez donc vous familiariser avec votre nouvelle terre d’accueil, sa culture, ses pratiques d’affaires, son système bancaire. Pour ce faire, il est recommandé d’envisager dans un premier temps une visite exploratoire. Lors de cette première visite, immergez-vous dans la culture québécoise et commencer à développer votre réseau d’affaires. Prenez contact avec des personnes du milieu financier et commencez à vous accoutumer aux pratiques, aux termes et aux exigences de ce milieu qui ne sont certainement pas les mêmes que dans votre pays d’origine. Vous éviterez ainsi certains imprévus.
À lire : Pourquoi immigrer et acheter une entreprise dans une région du Québec ?
Contactez le CTEQ
Le CTEQ en raison de sa mission est le chef de file du repreneuriat (transfert d’entreprises) au Québec. Ses conseillers sont disponibles et disposés pour vous accompagner dans votre projet d’achat. Ils vont vous aider à bien structurer votre projet d’affaires, vous permettre d’avoir accès à un grand réseau de professionnels (avocats, comptables, évaluateurs d’entreprise, etc.) et s’assurer que vous traitiez avec les bonnes personnes. Ils vont également veiller au bon déroulement du processus de transfert d’entreprise et vous référer au besoin aux organismes partenaires qui œuvrent aussi dans l’écosystème entrepreneurial québécois et qui ont une expertise complémentaire à celle du CTEQ. Apprenez-en un peu plus sur le rôle des conseillers du CTEQ dans cet article.
De plus, il faut noter que le CTEQ détient actuellement le répertoire repreneurial le plus complet au Québec appelé l’INDEX où sont affichées des centaines d’entreprises qui cherchent actuellement une relève. Nos conseillers sont ainsi habiletés et outillés pour vous proposer des occasions d’affaires uniques qui répondent à vos attentes dans la région du Québec où vous compter vous établir. Visitez l’INDEX pour en savoir plus et retrouvez un article complet sur cet excellent outil.
Les statistiques démographiques démontrent que le vieillissement de la population québécoise engendre depuis quelques années un départ accru à la retraite de plusieurs propriétaires-dirigeants qui souhaitent vendre leur entreprise à une relève motivée et passionnée qui emmènera leur entreprise encore plus loin. Plusieurs occasions s’offrent à vous si vous décidez de sauter le pas. Alors, n’hésitez plus !
Le plus important est de ne pas oublier que dans un transfert d’entreprise, c’est l’humain qui est au centre et qui prime. Il faut donc entretenir une relation de confiance, de transparence et une excellente communication entre toutes les parties. Le CTEQ est justement là pour créer ces liens et veiller au bon succès de votre projet d’achat d’entreprise.
Pour toutes questions, n’hésitez pas à communiquer avec nous.
Centre de transfert d’entreprise du Québec 1 844 200-2837, poste 1000
Le conseiller en transfert d’entreprise au CTEQ aide les propriétaires-dirigeants et les acquéreurs d’entreprise à mener à bien leur projet de vente ou d’achat d’entreprise. En effet, il s’agit d’un professionnel généraliste qui maîtrise le processus de transfert dans son intégralité et qui a pour principal objectif la réussite du projet de transfert. Quel est son rôle ? Par quel moyen intervient-il ? Pourquoi est-il important de se faire accompagner par un conseiller en transfert d’entreprise ? Retrouvez toutes les réponses dans le présent article.
Le rôle du conseiller en transfert d’entreprise du CTEQ
Lors d’un transfert d’entreprise, c’est-à-dire lors de la vente ou de l’acquisition d’une entreprise, hormis les experts, il est recommandé au vendeur et à l’acheteur de se faire accompagner par un professionnel, un chef d’orchestre qui a une vision globale et parfaite du processus de transfert d’entreprise. Le conseiller du CTEQ, aux côtés de son client, agit avec transparence, neutralité et en toute confidentialité. Il accompagne l’entrepreneur dans son projet de vente ou d’achat d’entreprise avec pour objectif premier d’assurer le succès de la transaction. Il aide son client tout au long de sa démarche, répond en suivant son rythme à ses différentes interrogations et le soutien dans n’importe quelle phase du processus lorsque nécessaire.
Par quels moyens intervient-il ?
Dès lors qu’il est contacté, le conseiller du CTEQ fixe une première rencontre avec son client. Lors de cette rencontre et à l’aide d’un questionnaire détaillé, il dresse un profil de ce dernier afin de mieux cerner ses besoins et attentes. Il lui présente ensuite les différents services et outils offerts par le CTEQ pour mener à bien son projet de transfert d’entreprise (l’INDEX et les formations). Une fois les informations utiles partagées de part et d’autre, le conseiller pourra ensuite :
- Recommander les experts appropriés à son client
- Rechercher dans la base de données du CTEQ les meilleures opportunités pour son client
- Établir une première rencontre de maillage pour son client
- Préparer et accompagner son client lors de sa première rencontre de maillage
- Veiller à ce qu’une entente de non-divulgation soit signée entre les parties
- Guider son client pour le dépôt de la lettre d’intention
- Accompagner ce dernier tout au long du processus
Pourquoi est-il important de se faire accompagner par un conseiller du CTEQ ?
Le conseiller en transfert d’entreprise du CTEQ peut être consulté pour différentes raisons :
- Il peut vous aider à faire le point sur votre situation, peu importe l’étape à laquelle vous êtes rendu dans le processus de transfert
- Il peut vous aider à gagner un temps considérable en répondant à vos questions et en vous référant aux bonnes personnes
- Il peut vous aider à mieux identifier une entreprise qui vous correspond selon votre parcours, votre passion, vos expériences et centres d’intérêt
- Il peut également vous aider à sortir de votre zone de confort et à voir plus loin que votre vision afin de ne pas passer à côté d’une belle occasion d’affaires.
- Il apporte un côté humain à la transaction dans son ensemble. Le transfert d’entreprise passe obligatoirement par des connexions humaines et sans connexion humaine il n’y a pas de transfert.
- Il détient le répertoire repreneurial le plus complet au Québec : l’INDEX
Finalement, il ne faut pas oublier qu’un entrepreneur va probablement vendre ou acheter une seule fois une entreprise au courant de sa vie. De plus, le fait de connaître et de maîtriser les différentes phases du processus de transfert d’entreprise n’est pas donné à tout le monde. Dès lors, pour rendre cette expérience bonne et agréable, il est conseillé de se faire accompagner par un professionnel du domaine qui agit en toute neutralité. Le conseiller du CTEQ crée des liens et rend la communication plus fluide entre les différentes parties. Il joue un rôle de guide, d’éclaireur, de facilitateur, d’accompagnateur et de coach. C’est le gardien du processus de transfert qui a à cœur la réussite de votre projet d’achat ou de vente d’entreprise. Nos conseillers demeurent disposés et disponibles pour vous accompagner dans votre projet. Communiquez avec nous !
Dans cette capsule, Serge Bastien, conseiller au Centre de transfert d’entreprise du Québec nous présente la clause de complément de prix également appelé la clause d’earn-out comme une solution possible à intégrer dans les négociations lors d’un transfert d’entreprise dans un contexte de crise.
Les points abordés sont les suivants:
- La définition de la clause d’earn-out
- Les principales règles d’applications
- Les principaux enjeux liés à son application
Pour toutes questions, n’hésitez pas à communiquer avec nous!
1 844 200-2837 poste # 1000
Mai 2020
À la question : « Quel est l’impact de la pandémie sur la gestion des ressources humaines, plus particulièrement sur les activités de recrutement ? ».
Nous répondons : « Excellente question ! ». Voici la réponse de Sylvie Bacon, CRHA et directrice de l’équipe-conseil au Centre de transfert d’entreprise du Québec.
[rev_slider alias= »recrutement »]
La pandémie a scindé en, quelque sorte, notre économie en trois :
- Il y en a des entreprises qui luttent carrément pour leur survie ;
- Il y a celles qui offrent des services essentiels qui peinent à suffire à la tâche et à pourvoir tous leurs postes ;
- Et il y a toutes les autres qui ont dû procéder à des mises à pied temporaires, à des gels d’embauche et qui n’ont pas le choix de s’ajuster pour passer au travers.
Cette nouvelle réalité fait en sorte qu’il y a soudainement beaucoup plus de personnes sans emploi. Si vous parlez à des professionnels en ressources humaines et à des recruteurs, ils seront les premiers à vous dire qu’ils reçoivent un plus grand nombre de CV actuellement, et on peut le comprendre avec toutes ces personnes nouvellement mises à pied, potentiellement à la recherche de nouveaux défis.
C’est dire à quel point le marché a changé rapidement ! Il n’y a pas encore si longtemps, nous étions en pleine pénurie de main-d’œuvre généralisée !
Est-ce qu’on peut recruter en cette période de pandémie ? La réponse est oui, bien sûr, mais à deux conditions :
- La première condition sine qua non est sans grande surprise en fonction de la capacité financière de l’organisation.
- La seconde est si vous avez été capable de vous adapter au nouveau contexte de travail pour mieux rebondir.
S’adapter au nouveau contexte de travail pour mieux rebondir signifie quoi lorsqu’on pense à recruter ? Trois aspects sont importants à considérer :
- Le premier est qu’on aura pris le temps d’identifier « les vrais services essentiels » au sein de notre entreprise.
Nous avons vite constaté avec la pandémie qu’on ne pouvait pas continuer à faire les mêmes choses, et encore moins de la même façon qu’avant. La pandémie nous a vraiment forcés à identifier et nous centrer sur ce que sont « les services essentiels » au sein de chacune de nos organisations.
- Le 2e aspect important est que le virage technologique soit bien intégré et adopté à l’intérieur de votre organisation.
Regardez à quel point la capacité de fonctionner à distance et d’avoir des employés en télétravail fait la différence dans les organisations actuellement. La pandémie nous oblige non seulement à revoir nos façons de faire, mais bouscule des idées préconçues qu’on aurait pu avoir sur le télétravail par exemple. Plusieurs croyaient encore jusqu’à tout récemment que d’avoir tous les employés en télétravail n’était pas possible, ou certainement pas aussi productif… Et pourtant !
Ce qui était impensable il y a à peine deux mois devient une solution tout à fait viable actuellement. Il faudra s’y habituer, car ces mesures dites temporaires risquent de demeurer avec nous assez longtemps. Je pense notamment au fait que malgré les annonces de déconfinement progressif, il semble que la distanciation sociale restera quant à elle encore un bon moment avec nous.
- Le 3e élément est si nous en avons profité pour adapter nos processus et pour revoir les descriptions de postes en fonction des nouveaux besoins.
Ce qui implique de revoir nos façons de faire en matière de recrutement et d’embauche de personnel pour les rendre accessibles, même à distance, afin de pouvoir offrir cette nouvelle alternative et cette agilité à votre organisation.
Je ne fais pas seulement allusion ici aux entrevues d’embauche, mais aux tests d’aptitudes, au processus d’intégration de nouveaux employés et même à la formation.
Évidemment, il y a des exceptions et il y a des postes qui ne pourront pas être pourvus ni s’exécuter à distance. Mais une chose est certaine, le statu quo n’est pas une option !
Pensez-y, la vidéoconférence peut facilement être utilisée pour mener des entrevues de sélection. Elles permettent tout aussi bien de voir les réactions et saisir les subtilités du langage non verbal des candidats : est-ce que la personne lit ses notes, cherche ses réponses, regarde ailleurs, semble inconfortable, etc.
La même chose s’applique en ce qui a trait au processus d’intégration pour les nouveaux employés. On peut utiliser la vidéoconférence pour présenter les collègues de travail, et il existe même des technologies qui facilitent la formation en permettant les partages d’écran et de documents en temps réel. Ce qui veut dire que même la formation sur vos outils de gestion internes pourrait se faire à distance.
Au même titre que je ne pense pas que ce soit réaliste pour toutes les entreprises d’aller de l’avant avec leur recrutement actuellement, je ne pense pas que ce soit une bonne idée d’attendre que toutes les mesures soient levées avant de commencer. Comme décrit plus haut, il y a un nombre accru de candidats sur le marché actuellement, et cette fenêtre d’opportunité ne sera pas toujours là.
En résumé, trois éléments à retenir :
- Prenez le temps de réexaminer les profils de postes que vous avez à pourvoir en fonction de ce qui est vraiment nécessaire, essentiel pour vos organisations.
- Misez sur la connaissance et l’utilisation des technologies. Le virage numérique est un incontournable !
- Adaptez vos processus et vos outils afin de faire en sorte que vos méthodes de recrutement et d’embauche ne soient pas des obstacles pour aller de l’avant, mesures de distanciation ou non !
Prenez soin de vous et prenez soin de vos employés !
Pour toutes questions, n’hésitez pas à communiquer avec nous!
1 844 200-2837 poste # 1000
Avril 2020
Dans cette capsule, Jean-Pascal Dumont, coordonnateur provincial au développement du repreneuriat collectif au Centre de transfert d’entreprise du Québec (CTEQ) reçoit Michel Ferland, directeur général de la Fédération des coopératives d’alimentation du Québec pour discuter des forces du modèle coopératif en temps de crise.
Les questions suivantes seront abordées :
- Comment est-ce que l’histoire nous démontre que le modèle coopératif a mieux résisté en temps de crise ?
- En tant qu’entrepreneur souhaitant vendre son entreprise, quels sont les aspects à identifier au sein de celle-ci indiquant qu’elle est un terreau fertile pour la vente à un groupe d’individus ?
- Est-ce que les acheteurs potentiels d’entreprise seront davantage portés à considérer acheter en groupe en raison de la crise actuelle ?
- Est-ce que la reprise collective d’entreprise pourrait constituer un jalon pour la relance économique des régions éloignées ?
Pour toutes questions, n’hésitez pas à communiquer avec nous!
Avril 2020
Dans cette capsule, Jean-Pascal Dumont, coordonnateur provincial au développement du repreneuriat collectif au Centre de transfert d’entreprise du Québec (CTEQ) reçoit Michel Ferland, directeur général de la Fédération des coopératives d’alimentation du Québec pour discuter des forces du modèle coopératif en temps de crise.
Les thèmes suivants seront abordés :
- Quelle est la situation actuelle auprès des coopératives d’alimentation ?
- Pourquoi devriez-vous considérer vendre votre entreprise sous forme de coopérative ?
- Pourquoi devriez-vous considérer former une coopérative comme option d’achat d’entreprise ?
- Quelles sont les forces des entreprises coopératives ?
Pour toutes questions, n’hésitez pas à communiquer avec nous!
1 844 200-2837 poste # 1000